Élevage d’huîtres en poche sur table en rade de Brest. Les poches d’huîtres sont recouvertes d’algues vertes. Au sol, les algues vertes coexistent avec les fucus.
F. Pernet/Ifremer
Modéliser les mouvements océaniques avec toujours plus de précision nous permettra d’anticiper à court et plus long terme son avenir et les phénomènes associés.
De jeunes pétoncles sont semés par l’équipe de l’écloserie du Tinduff (Finistère) sur des zones préalablement enrichies en substrats pour leur permettre de se fixer.
Stéphane Pouvreau / Ifremer
Longtemps pêché en rade de Brest, Mimachlamys varia a été victime ces dernières décennies de la surexploitation et de la perte de son habitat. Un programme tente de le réintroduire.
La rade de Brest a subi deux phases de contaminations depuis 1940.
Wikimedia commons
La pollution issue des bombardements puis celle attribuée à l’agriculture intensive ont profondément modifié le plancton de la rade de Brest.
Une équipe de chercheurs en chimie des substances naturelles de l’Université de Montpellier s’est intéressée à l’origine moléculaire de la coloration rose de la coquille de l’huître comestible.
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La sécurisation du Calaisis aurait conduit à l’essor des traversées de personnes migrantes en Manche. Dans un contexte de fermeture des frontières, les actions de sauvetage pourront-elles perdurer ?
Prolifération de Phaeocystis globosa sur une plage des Hauts de France en mai 2019.
Alain Lefebvre / Ifremer
Les fleuves français charrient dans leurs eaux encore trop d'azote et de phosphate qui, une fois déversés en mer, contribuent au phénomène d'eutrophisation des eaux marines côtières.
L’océan abrite une biodiversité précieuse menacée par les activités humaines.
Chun Yu Chen/Flickr
Si trop de Français se noient accidentellement, ce n’est pas forcément parce qu’ils ne savaient pas nager. Souvent, ils n’ont pas su évaluer les conditions de baignade et leur capacité à s’y adapter.
Banc de thons jaunes dans l’océan Indien.
Ifremer/IRD/FADIO
Cet été, bon nombre de touristes vont partir pour le littoral. Peu familiers des baignades en milieu naturel, certains n’ont jamais entendu parler des dangereux courants d’arrachement. Explications.
Baie de Chiriguano, îles de Shetland du Sud (Antarctique) en novembre 2019.
Johan Ordonez / AFP
L’étendue glaciaire qui recouvre l’Antarctique est menacée de dislocation sous l’effet du réchauffement. Ce qui contribuerait à l’élévation du niveau de la mer dans l’hémisphère Nord.
Une vision de la ville de Miami (États-Unis) les pieds dans l’eau… Cette métropole est l’une plus exposées aux risques de submersion.
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Dans le cadre de la « Décennie de l’océan » lancée par l’ONU en 2021, de jeunes chercheurs et professionnels initient des actions entre les disciplines, les pays, les communautés et les générations.
En 2019, Le Havre avec son port en arrière-plan.
JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP
La nouvelle loi chinoise encadrant les activités des garde-côtes contribue à l’affirmation du statut de puissance maritime de la Chine voulu par Xi Jinping.
En août 2019 dans le port de Marseille. Le stationnement des bateaux de croisière intensifie la pollution de l’air.
Christophe Simon/AFP
Joël Guiot, Aix-Marseille Université (AMU) e Wolfgang Cramer, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
La région, par sa biodiversité, son climat, sa démographie et ses activités économiques et touristiques, est particulièrement vulnérable aux risques environnementaux.
À la mer, l’eau monte et descend deux fois par jour. Où va-t-elle ?
Evgeniya Chertova, Shutterstock
Directeur de Recherche CNRS, Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)