La technique qui consiste à déstabiliser tout le monde pour se montrer plus rassurant peut parfois fonctionner dans une négociation commerciale, moins facilement dans le domaine diplomatique.
Sommet de Minsk (Bélarus) en février 2015.
Kremlin:Wikimedia
Il est possible d’essayer d’imaginer ce que pourrait être, à l’avenir, une politique étrangère qui s’assumerait comme de gauche, à la fois réaliste et portant la marque d’ambitions spécifiques.
Fin septembre 2016, des soldats du gouvernement national sur la ligne de front à Syrte.
Fabio Bucciarelli/AFP
Après des mois d’intenses combats, le gouvernement libyen affirme avoir défait les forces de l’État islamique à Syrte. Une victoire qui doit beaucoup au soutien actif des Américains.
La nouvelle cathédrale russe sur les quais de la Seine.
Коля Саныч/Flickr
Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
Recep Tayyip Erdogan en conférence de presse le 20 juillet.
Adem Altan / AFP
La tentative de putsch ratée en Turquie et les purges massives qui suivent pourraient avoir des implications négatives sur les relations d’Ankara avec l’OTAN et l’Union européenne.
Des inspecteurs soviétiques devant des missiles Pershing II démantelés en vertu du traité sur les forces nucléaires intermédiaires (INF); 14 janvier 1989.
Wikimedia
Construire une alternative sur l’avenir du nucléaire militaire pour les Français et leurs représentants exige de dépasser les publications para-officielles.
Préparatifs lors du précédent, en 2014, au Pays de Galles.
OTAN/Flickr
Les Vingt-huit se réunissent à Varsovie vendredi et samedi dans un contexte international très dense : Ukraine, Syrie, lutte contre le terrorisme, Brexit… Saura-t-elle à la hauteur de ces enjeux ?
Un officier américain transportant les codes permettant d'activer le feu nucléaire.
Joshua Roberts/Reuters
Max Tegmark, Massachusetts Institute of Technology (MIT) e Frank Wilczek, Massachusetts Institute of Technology (MIT)
La visite du président Obama à Hiroshima est l’occasion de poser la question du coût de de la modernisation de la force de dissuasion. Un enjeu à plusieurs milliards qui se pose aussi en France.
Le président Hollande lors du défilé du 14 juillet 2013.
Marie-Lan Nguyen/Wikimedia
Délaissant l’idée gaullienne de grandeur, la France renoue avec une politique étrangère fondée d’abord sur la puissance. Or soft power et hard power n’ont jamais fait bon ménage.
La Tour Eiffel en tricolore, comme de nombreux monuments à travers le monde.
Ludovic Marin/AFP
Après le choc des attentats du 13 novembre, la France veut mobiliser tous azimuts ses partenaires pour intensifier la lutte contre Daech. Mais le succès de cette entreprise est hautement aléatoire.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School