Des fossiles australiens de poissons à mâchoire permettre de mieux comprendre notre évolution.
Reconstruction de différents modes de locomotion dans le désert du Djourab (Tchad).
Sabine Riffaut, Guillaume Daver, Franck Guy / Palevoprim / CNRS – Université de Poitiers / MPFT
Une toute nouvelle étude dévoile le mode de locomotion de nos très anciens ancêtres, des humains capables de marcher mais aussi d’évoluer dans les arbres.
Yves Coppens dans la Vallée de l'Omo en 1969.
International Omo Research Expedition/Jean Chavaillon
Grégoire METAIS, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Alexis Licht, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Il y a environ 40 millions d’années, un continent a servi de pont pour la faune asiatique pour s’installer en Europe.
Reconstitution d'un groupe d'Elasmotherium dans leur environnement marécageux supposé proposée dès 1948 (par V. A. Vatagin, d'après le travail de V. A. Teryaev).
V. Zhegallo et al., 2005
Jérémy Duveau, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
L’Homme, ou Homo sapiens notre espèce, ne descend pas du singe. En réalité, nous sommes des singes !
L'abri sous roche de la Grotte Mandrin a été utilisé à plusieurs reprises par les Néandertaliens et les humains modernes au cours des millénaires.
Ludovic Slimak
Des artefacts en pierre et une dent fossile indiquent qu’Homo sapiens vivait à la Grotte Mandrin il y a 54 000 ans, à une époque où les Néandertaliens vivaient encore en Europe.
Un modèle 3D du crâne fossile d’Homo sapiens Cro-Magnon 1.
Les dinosaures sont-ils bipèdes ou quadrupèdes ? Pour répondre à cette question, les paléontologues peuvent s’aider de plusieurs indices, squelettiques mais pas que !
Photographie d’archive illustrant la tombe double des individus JS 20 et JS 21 avec l’indication par les crayons de la position des artéfacts lithiques associés.
Fond d’Archives Wendorf du British Museum.
Un podcast pour transmettre l’émotion de la découverte scientifique. Dans cet épisode, Jean-Renaud Boisserie nous emmène dans une visite sonore de l’atelier de préparation et de moulage des fossiles.
Rechercher les traces de la biodiversité passée n’est pas nécessairement une partie de plaisir.
Les émotions que les paléontologues expérimentent dans leur quotidien sont loin d’être toutes positives. Mais est-ce réellement ce qui compte ?
De nouvelles pistes fossiles de reptiles anté-dinosauriens ont été découvertes en Provence et analysées par une nouvelle méthode d’investigation (photogrammétrie 3D). La barre blanche indique 10 centimètres.
Jean-Sébastien Steyer, MNHN
Romain Garrouste, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); André Nel, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Jean-Sébastien Steyer, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
De nouvelles pistes de reptiles fossiles vieilles de 265 millions d’années ont été découvertes en Provence. Elles datent d’avant les dinosaures.
Un mammouth des steppes, ancêtre du mammouth laineux.
Beth Zaiken/Centre for Palaeogenetics
Grâce à la palynologie – étude des pluies polliniques passées – nous pouvons explorer l’impact des épidémies passées sur l’environnement et la biodiversité.
Reconstruction virtuelle de la 5e phalange d'une Dénisovienne. Les deux tiers de l’extrémité de la phalange sont en couleur naturelle (Eva-Maria Geigl) tandis que sa base, en vert et en bleu, ont été reconstituées à partir d'une tomodensitométrie (H. Temming, J.-J. Hublin). La figure montre les deux côtés de la phalange.
Bennett et coll./AAAS
Eva-Maria Geigl, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
En 2008, des archéologues découvraient un fragment de petit doigt dans une grotte sibérienne. Depuis, l’analyse de son ADN a permis aux scientifiques de réécrire l’histoire évolutive des humains.