Les femmes n’ont compté que pour moins de 10 % des candidats aux élections législatives qui viennent de se tenir en Inde, reflet de la place secondaire qui est encore la leur en politique.
Les femmes sont de plus en plus présentes dans les fonctions de très haute direction, mais elles se retrouvent dans des fonctions dites de support, qui mènent rarement aux postes de PDG.
Des données ministérielles montrent que certaines spécialités choisies au niveau master présentent des taux de féminisation élevés mais aussi des niveaux de rémunération faibles une fois en emploi.
Selon le dernier baromètre de BSB, les objectifs de parité de la loi Copé-Zimmermann ont entraîné une diversité des profils dans la gouvernance des grandes entreprises françaises.
Haïti est au dernier rang au monde pour la représentation des femmes en politique. Or, l’inégalité entre les sexes contribue à l’échec du développement économique et humain.
Les grandes entreprises ont plus de facilité que les plus petites à atteindre la parité hommes-femmes sur leur conseil d’administration. Et celles qui se dotent de cibles précises font mieux.
Intégrer des femmes dans les équipes de développement pourrait permettre une IA plus égalitaire, moins sujette aux stéréotypes de genre que nous lui transmettons et qu’elle perpétue.
Les partis islamistes PJD (Maroc) et Ennahdha (Tunisie) attirent un nombre relativement important de femmes. Celles-ci sont toutefois, pour l’essentiel, confinées à des rôles secondaires.
Si 40 % des conseiller·ère·s municipaux·ales sont des femmes, elles sont seulement 16 % à occuper le fauteuil de maire dans la dernière mandature. Pourquoi la parité est-elle si difficile à atteindre ?
Michel Ferrary (Skema Business School) a mené une étude qui vérifie l’hypothèse avancée par Christine Lagarde, aujourd’hui présidente de la Banque centrale européenne.
« Si Lehman Brothers s’était appelée « Lehman Sisters », la situation en 2008 aurait été bien différente », avait déclaré la directrice générale du FMI. Une étude vient aujourd’hui confirmer ces propos.
Les écoles de management qui forment les cadres de demain offrent-elles les mêmes opportunités de carrière à leurs enseignants, hommes et femmes ? Les chiffres montrent que c’est loin d’être le cas.
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2015, les comités de sélection pour les postes de maître de conférences et de professeur doivent être composés d’au moins 40 % d’hommes et 40 % de femmes. Avec quels effets ?
Les pays nordiques dominent les indices d’égalité de genre grâce à leurs politiques en matière de garde d’enfants et de congés parentaux généraux. Mais ces congés ont-ils vraiment l’effet escompté ?
De plus en plus de pays misent sur l’approche par la transparence dans leur réglementation. Pour quelle efficacité ? Selon les spécificités locales, le bilan reste à ce jour mitigé.
Au-delà des problèmes et des polémiques sur l’université, tentons de faire un constat objectif de l’enseignement supérieur et de la recherche, et d’esquisser des pistes de réflexion.
Le 1er janvier prochain au plus tard, les entreprises devront être en conformité avec les quotas imposés par la loi n° 2011-103 du 27 janvier 2011 relative à la représentation équilibrée des femmes et…