Les systèmes de soins de santé du monde entier intensifient leur réponse à la propagation de la Covid-19, comme cet hôpital de l'État de Washington.
Ted S. Warren/AP
Les citoyens du monde entier s’inquiètent des taux de décès dans leur pays et à l’étranger alors que les effets économiques de COVID-19 commencent à se faire sentir.
En 2013, de nouveaux médicaments antiviraux ont révolutionné le traitement de l’hépatite C. Pour autant, le virus est loin d’être éradiqué. D’où la nécessité de poursuivre la recherche d’un vaccin.
Si le vaccin contre le coronavirus SARS-CoV-2 de Pfizer obtient une autorisation de mise sur le marché, il pourrait devenir le premier vaccin à ARN à être utilisé en santé humaine.
Justin Sullivan / AFP
Le laboratoire Pfizer a mis au point un vaccin contre le coronavirus SARS-CoV-2 qui a été le premier a être administré dans plusieurs pays dont la France. Retour sur son principe de fonctionnement.
La production industrielle de vaccins a permis de mener des campagnes de vaccination de masse qui ont fait reculer les maladies infectieuses.
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De récentes découvertes sur les effets des vaccins vivants atténués remettent en question le paradigme vaccinal actuel et interrogent les politiques de vaccination.
Internet regorge de fausses informations en lien avec la santé.
Annie Spratt/Unsplash
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le secteur de la santé semble particulièrement ciblé par les fake news. Quelles hypothèses expliquent cette situation ? Quels sont les risques ? L’analyse de Laurent Chambaud, directeur de l’EHESP.
Les crevettes: délicieuses pour les uns, potentiellement mortelles pour les autres.
Andrés Medina/Unsplash
Les fruits de mer, mollusques et crustacés, font partie des huit allergènes responsables de 90 % des réactions allergiques d’origine alimentaire. Et si un vaccin pouvait régler le problème ?
Les cellules infectées par le papillomavirus changent de structure et peuvent devenir cancéreuses.
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Pourquoi étendre la vaccination contre les papillomavirus aux garçons ? Parce que ces virus n’affectent pas que les femmes, il provoque également des cancers chez les hommes.
Dans nos contrées, nous avons oublié à quoi ressemble la rougeole, et quels en sont les effets.
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La rougeole fait son retour dans les pays où elle avait disparu. Fin janvier, un comté de Washington où seuls 22 % des enfants sont vaccinés déclarait l’état d’urgence. Comment en est-on arrivé là ?
Protéiforme, l'hésitation vaccinale est alimentée par de multiples sources, certaines complotistes. Comprendre comment ces « informations » se diffusent est essentiel pour la combattre.
Jacques Demarthon/AFP
Mettre en place une communication efficace sera crucial pour contrecarrer l’inquiétante tendance à l’hésitation vaccinale. Première étape : comprendre comment se diffuse l’information scientifique.
Micrographie électronique à balayage de virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en jaune, à la surface d'un lymphocyte T, en bleu (fausses couleurs).
NIAID
35 ans après la découverte du VIH, la mise au point d’un vaccin reste pour un grand nombre de chercheurs et de médecins une priorité de recherche. Les derniers résultats sont encourageants.
La vaccination permet de protéger les plus vulnérables.
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La vaccination a constitué une avancée majeure en termes de santé publique. Pourtant, en Occident, une partie croissante de la population la remet en question. Retour sur les causes de ce scepticisme.
À quoi est due la résurgence de la rougeole ?
Dave Haygarth/Flickr
Avec 41 000 cas répertoriés durant la première moitié de 2018, la rougeole est de retour. Une recrudescence qui n’est pas seulement liée aux refus de vaccination. Décryptage d’une situation complexe.
Des traitements expérimentaux sont envisagés pour faire face à la nouvelle épidémie d'Ebola qui s'est déclarée en République démocratique du Congo. Un vaccin lui aussi expérimental est déjà en cours d'administration.
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La République démocratique du Congo connaît une nouvelle épidémie causée par le virus Ebola. L’urgence de la situation a poussé l’OMS à proposer des médicaments non homologués.
Une femme brandit une boîte de Levothyrox, lors d'une manifestation le 8 septembre pour le retour à l'ancienne formulation.
Christophe Archambault/AFP
La méfiance vis-à-vis des médicaments se nourrit des scandales passés et du défaut d’information. Des conditions idéales pour produire des réactions collectives de peur et d’anxiété.
Le gouvernement veut rendre les vaccins obligatoires entre l'âge de zéro et deux ans.
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Quand l'obligation vaccinale sera en vigueur pour les enfants de moins de deux ans, il faudra prendre en compte le risque que la vaccination soit négligée chez les enfants plus âgés et les adultes.
Vaccination d'un nourrisson (photo d'illustration).
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Vincent Renard, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) e Olivier Saint Lary, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Rendre 11 vaccins obligatoires chez l'enfant n'est pas un moyen efficace d'augmenter la couverture vaccinale en France. D'autres mesures permettraient de l'obtenir en restaurant la confiance.
Avner Bar-Hen, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) e Patrick Zylberman, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Retour sur la consultation citoyenne sur les vaccins alors que onze vaccins pédiatriques devraient être rendus obligatoires en France pour une période transitoire.
A Monrovia, au Liberia, le 5 avril 2017. Un volontaire reçoit un vaccin contre Ebola à l'hôpital, dans le cadre de l'essai clinique Prevac.
NIAID/Flickr
Un vaccin contre Ebola est maintenant disponible, à titre expérimental. Mais il ne permettra pas d’endiguer une nouvelle épidémie sans un système de santé opérationnel dans les pays touchés.
Trousse d'une jeune femme préparant son voyage pour la Nouvelle-Zélande.
Natalie Downe/Flickr
Avec le paludisme ou Zika, il est utile de savoir quoi emporter dans sa trousse à pharmacie selon sa destination de vacances. Et d’anticiper, bien avant le départ, sur les vaccinations nécessaires.
Sans un réel effort pour faire preuve d'esprit critique, on aura facilement tendance à considérer la science comme un buffet, où l'on peut se servir selon ses préférences.
Tony Derbomez
Les convictions personnelles influent sur notre perception des questions scientifiques. En fonction des cas, elles peuvent entraîner l’acceptation ou le rejet du consensus scientifique.
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)