Twitter, plus que tout autre réseau social, permet de suivre et de commenter les événements en temps réel. L'acquisition de la plate-forme par Elon Musk pourrait radicalement changer la donne.
Le 25 mars 2022 à Nantes lors de la manifestation des Jeunes pour le climat.
Loic Venance/AFP
Une vaste étude conduite sur les réseaux sociaux au cours du quinquennat Macron permet d’identifier quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis du changement climatique.
La banalisation des discours qui s'affranchissent impunément de la réalité doit nous alerter.
AFP
Apparus récemment, les « Twitter Spaces » sont un nouvel outil audio qui s’installe dans l’agora politique en ligne.
Les candidats à l'élection présidentielle (au 24 janvier 2022) n'hésitent pas à utiliser les réseaux sociaux : Twitch (Yannick Jadot), Twitter (Anne Hidalgo), Tiktok (Emmanuel Macron, Telegram (Marine Le Pen), Youtube (Jean-Luc Mélenchon).
L’intérêt pour le numérique en communication politique apparaît d’autant plus fort un peu moins de deux ans après le début de la crise sanitaire déclenchée par le Covid.
Photographie du « bureau » d'Emmanuel Macron diffusé le 31 janvier 2022 sur son compte Twitter officiel.
Twitter
La viralité du mème a été parfaitement comprise et adoptée par Emmanuel Macron et son équipe.
Diffuser des fausses informations sans le savoir devrait inciter avant toute chose à vérifier ses sources : image d'illustration des applications sur smartphone, WhatsApp, Signal, telegram, Viber, Discord et Olvid.
Damien Meyer / AFP
Il n’est pas suffisant de s’appuyer sur la notion de vérité pour combattre les fake news, il faut introduire une notion plus vaste et opératoire de « responsabilité épistémique ».
Comment promouvoir efficacement la transition écologique sur les réseaux sociaux ?
Désinformation, ingérence étrangère, deepfakes… L’UE, comme le reste du monde, fait face à un raz-de-marée de fake news face auquel elle tente de s’organiser.
Les 18-25 ans privilégient les vidéos courtes et commentées pour s'informer, et les regardent sur leurs smartphones.
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Il est loin, le temps du rendez-vous familial devant le JT de 20h. C’est souvent seuls, pendant les pauses de la journée, que les jeunes suivent l’actualité, privilégiant réseaux sociaux et vidéos.
Malgré son dynamisme d’avant-crise, le bassin d’emplois de la Tarentaise, en Savoie, fut l’un des plus impactés en France.
Les baisses d’activité enregistrées localement, qui pèsent sur le ressenti des populations, concernent à la fois des territoires prospères et d’autres qui présentent des fragilités structurelles.
La saga Harry Potter, créée par J.K. Rowling au début des années 1990, rassemble une immense communauté de fans.
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Adulée par les millennials, notamment pour son univers antiraciste et ouvert aux différences, la saga Harry Potter est reçue de manière plus critique par une nouvelle génération de féministes.
Comme l'homme à gauche sur cette photo prise le 3 mars dernier à Dakar pendant une manifestation en soutien à l'opposant Ousmane Sonko, les contestataires sénégalais sont nombreux à relayer la contestation sur les réseaux sociaux.
John Wessels/AFP
La mobilisation d’une partie de la population sénégalaise contre le pouvoir du président Macky Sall doit beaucoup à l’inventivité et au dynamisme des internautes.
Amnesty International, ONG qui défend les droits humains, se montre particulièrement active sur les réseaux sociaux, notamment Twitter.
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Une étude montre que les dénonciations ou les encouragements des organisations non gouvernementales sur Twitter affectent significativement les cours boursiers des entreprises visées.
Les réseaux sociaux ont-ils commis un acte de censure en fermant les comptes du président des États-Unis en exercice ?
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La récente fermeture des comptes de Donald Trump sur de nombreux réseaux sociaux pose la question du contrôle qui s’exerce sur ces plates-formes.
Le compte Twitter de Donald Trump, qui était celui qui comptait le plus d'abonnés au monde, a été suspendu le 8 janvier 2020.
Justin Sullivan/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Le bannissement de Donald Trump des principaux réseaux sociaux pose de nombreuses questions, à commencer par celle de la responsabilité qu’ont les plates-formes dans les contenus qu’elles hébergent.
Des partisans du président américain Donald Trump portent des masques « Fake News » devant le centre où les bulletins de vote sont comptés, à Detroit, Michigan, le 5 novembre 2020.
Seth herlad / AFP
Pour contrer les nombreuses stratégies de manipulation de l'information orchestrées par le camp Trump, fact-checkers et médias mainstream se sont fortement mobilisés, avec des succès mitigés.
Des membres de la Coalition for Humane Immigrant Rights (CHIRLA), le plus grand groupe de défense des droits des immigrés en Californie, brandissent des pancartes portant la mention « Menteur », en anglais et en espagnol, lors du discours du président Trump sur l'état de l'Union, le 5 février 2019, à Los Angeles, en Californie.
Mario Tama/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump, on le sait, a un rapport particulier à la vérité, son administration ayant notamment forgé le concept éloquent de « faits alternatifs ». On le constate encore dans la campagne actuelle.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School