Diplo-focus : politiques étrangères
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Faut-il, face à la vague populiste-nationaliste, jouer la partition de la cohésion européenne à tout prix, ou bien appeler un chat un chat et aller au clash avec Varsovie ou Budapest ?
Le vote du 12 septembre montre certes que les démocrates existent encore en Europe. Mais il témoigne surtout des difficultés traversées par l’Union.
Au G7, Donald Trump n’a fait que pousser à l’extrême une posture américaine rétive à toute contrainte qui pourrait nuire à la sécurité, à l’identité, aux intérêts des « vrais » Américains.
En opposant au tabou palestinien du retour en Palestine la brutalité d’un soutien total à l’Etat hébreu, Washington joue sur un registre dangereux.
Avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, Donald Trump persiste dans les décisions polémiques, en dépit des réticences d’une partie de son administration.
La dissuasion d’aujourd’hui n’est plus seulement celle du fort doté de N têtes nucléaires, face à des acteurs inférieurs. Elle se décline sur au moins cinq modes.
La présence de Donald Trump au défilé militaire du 14 juillet a illustré un aspect important de la relation entre les deux pays : en dépit des brouilles (fréquentes), le poids de l’Histoire demeure.
La toile de fond des déclarations du Président Macron demeure éminemment libérale : défense du multilatéralisme, de l’Europe, d’agendas de sécurité humaine ou du libre-échange.
L’annonce du retrait américain de l’Accord de Paris sur le climat a intensifié l’opposition de style entre Macron et Trump, et le combat entre multilatéralisme et repli nationaliste.
Des dirigeants dont la position est bien assise et qui inspirent la confiance sur leur vision stratégique parviennent mieux à réduire les doutes en cas de crise internationale.