Des tablettes de Nivaquine (chloroquine) et de Plaquenil (hydroxychloroquine), dont l’efficacité contre le SARS-CoV-2 est actuellement évaluée à l’IHU de Marseille.
Gérard Julien / AFP
Alice Desclaux, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Reprises, amplifiées, déformées, mal comprises…Les informations qui quittent les laboratoires pour le vaste espace incontrôlé des médias et réseaux numériques peuvent avoir des conséquences graves.
Vincent Yzerbyt, Université catholique de Louvain (UCLouvain) and Olivier Klein, Université Libre de Bruxelles (ULB)
S’il s’agit bien d’instaurer une distance « physique » plus importante qu’à l’accoutumée, il faut de manière tout aussi importante renforcer la proximité sociale entre les gens.
Un tsunami d’informations déferle, sans que l’on puisse prendre le recul nécessaire pour en faire l'analyse.
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Luc Bonneville, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les nouvelles sur la Covid-19 tournent en boucle, sans permettre le recul nécessaire pour les analyser. Il faut s'interroger sur leur potentiel d'amplifier la panique dans la population.
La chapelle de l'Humanité, à Paris.
Jean-Pierre Dalbéra/Flickr
L’épidémie de Covid-19 continue sa progression exponentielle. Comment contrôler l’anxiété qui monte, en réaction à la propagation fulgurante de cette nouvelle menace ? Une psychologue répond.
À Rennes, des citoyens regardent l’allocution du président Emmanuel Macron sur l'épidémie de Covid-19, le 16 mars 2020, au cours de laquelle un renforcement des mesures de confinement ont été annoncées.
Damien Meyer / AFP
Les mesures prises afin de lutter contre le coronavirus SARS-CoV-2 vont modifier profondément la vie quotidienne des Français. Pour en atténuer les effets délétères, la parole sera importante.
« Un applauso per l'Italia » (applaudissement pour l'Italie) : dans le quartier de Garbatella à Rome, des habitants confinés pour lutter contre la propagation du Covid-19 participent à un « flash mob » depuis leur balcon, le 14 mars 2020.
Andreas Solaro / AFP
Les premiers travaux sur l’impact psychosocial du Covid-19 en Chine révèlent que l’épidémie n’a pas seulement marqué les corps, mais aussi les esprits, notamment en raison des mesures de confinement.
Comme l'École nationale de la magistrature, l’unique établissement en France qui forme les juges. Les directeurs d'hôpitaux publics ont une unique école : l'EHESP.
Site IPAG / Université de Strasbourg
Les désinfectants pour les mains, et les gels hydroalcooliques en particulier, ont fait beaucoup parler d’eux ces dernières semaines. Voici ce qu’il faut savoir pour les utiliser correctement.
Dans un gramme de yaourt, on dénombre quelque 10 millions de probiotiques, ces micro-organismes qui vont coloniser notre intestin.
Puhhha / Shutterstock
Cheikh Sokhna, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le coronavirus touche désormais 110 pays et territoires dont le Sénégal qui a jusqu’ici enregistré cinq cas. Comment se passe la détection ? Comment faire face en cas propagation de la maladie ?
L’Organisation mondiale de la Santé a déclaré le 11 mars l’état de pandémie.
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L’Organisation mondiale de la santé s’est au fil des décennies détournée de ses objectifs initiaux. En cause notamment, l’évolution de son financement vers un modèle très critiquable.
Lors de son allocution du 12 mars, le président de la République a annoncé plusieurs mesures visant à contrôler l’épidémie de coronavirus SARS-CoV-2.
Denis Charlet / AFP
Pascal Crépey, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour freiner le Covid-19. Suffiront-elles ? Comment l’épidémie pourrait-elle évoluer ? Pascal Crépey, épidémiologiste, apporte des éléments de réponse.
Un agent de sécurité a revêtu des gants pour tenir un ballon de basket, pendant la mi-temps d'un match de la NBA à Houston le 5 mars 2020. La NBA a demandé aux joueurs d'éviter les supporters qui font des high-five et de ne prendre en main aucun objet pour les autographes.
AP Photo/David J. Phillip
Des données plus précises permettent aujourd’hui de mieux évaluer l’épidémie de Covid-19. Leur analyse montre que son taux de létalité n’a pas diminué autant qu’on aurait pu l’espérer.
L’attention portée aux expressions faciales (à la fois chez les humains et chez les animaux) est plus importante depuis quelques années, car il s’agit d’un moyen simple, pratique et fiable pour mesurer la douleur.
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Les expressions faciales sont observées depuis longtemps pour quantifier la douleur chez les humains. Les chercheurs utilisent maintenant des « échelles de grimace » pour étudier celles des animaux.
Face à une pénurie de moyens, il faut se résoudre au triage des patients.
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Si les services de santé se trouvaient débordés par l’épidémie de Covid-19, il faudrait établir des protocoles pour déterminer qui soigner en priorité. Sur quels critères ? Avec quelles conséquences ?
Dans les cas les plus graves, la prise en charge du Covid-19 passe par une hospitalisation, voire une admission en réanimation.
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Le SARS-CoV-2 continue à circuler en France. Si ce nouveau coronavirus est bénin dans la grande majorité des cas, comment sont soignés les patients vulnérables qui développent des pneumonies sévères ?
On savait que le fer, élément essentiel, pouvait être recyclé par la cellule lorsqu’il y était introduit via des nanoparticules. Mais on pensait qu’il n’en allait pas de même pour l’or. À tort.
Le 28 février à Zouping, dans la province orientale du Shandong, en Chine : une patiente qui a récupéré du COVID-19 donne son plasma.
STR / AFP
La mortalité due au coronavirus SARS-Cov-2 augmente-t-elle ? Pourquoi l’OMS ne parle-t-elle pas de pandémie ? Que sait-on de l’efficacité de la chloroquine ? Les réponses d’Éric D’Ortenzio.
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord