En réalité, il peut aussi faire extrêmement chaud dans l’espace, voyons pourquoi.
L’informatique moderne permet de traiter les grandes quantités de données des satellites d’imagerie à haute résolution. Repérer les arbres et arbustes isolés dans des zones arides et semi-arides permet mieux évaluer et comprendre l’évolution du couvert végétal.
Martin Brandt
Des technologies de pointe permettent de construire une base de données ouverte de milliards d’arbres individuels, pour mieux comprendre la végétation en zone aride, loin des idées reçues.
Une planète a été découverte dans un système à trois étoiles.
Shutterstock
Des données accessibles au public et une bonne collaboration entre scientifiques ont conduit à la découverte d’une planète dans un système à trois étoiles.
Vue d’artiste des débris traçables autour de la Terre – les débris sont représentés magnifiés par rapport à la taille de la Terre.
ESA
Pierre Omaly, Centre national d’études spatiales (CNES)
Un satellite russe a été détruit par un tir de missile, générant de nombreux débris qui rejoignent les dizaines de milliers déjà en orbite autour de la Terre.
Une aurore vue depuis Skibotn, en Norvège, en mars 2017.
Thierry Sequies (CSUG/UGA)
Lumières enchanteresses ou de mauvais augure, elles font partie des mythes et de l’identité des régions polaires. Qu’apprennent-elles aux scientifiques de nos jours ?
Le 1er décembre 2020, la sonde lunaire chinoise Chang’e-5 a atterri sur la Lune.
STR / AFP
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.
Hisako Koyama et le télescope de 20 cm du musée des sciences de Tokyo (National Museum of Nature and Science) en 1951, où elle travaillait.
Asahigraph
La passion d’Hisako Koyama pour les étoiles commença pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses mesures du Soleil sont un pilier des observations historiques de notre étoile.
Une étoile filante pendant la pluie de météores des Perséides. Bientôt, des milliers de satellites envahiront le ciel nocturne.
Shutterstock
Les satellites de SpaceX vont peupler le ciel nocturne, ce qui aura une incidence sur notre façon d’observer les étoiles. Et ce n’est que le début des mégaconstellations de satellites privés.
Explorer l’espace ou l’exploiter ? L’atterrissage de la capsule du New Shepard, une fusée privée.
NASA / Fickr
La conquête de l’espace se renouvelle, et nous sommes à la croisée de deux chemins : celui d’une responsabilité commune et partagée et celui d’un individualisme débridé et profiteur.
La régulation ou le marché, l’action publique internationale ou la logique du profit peuvent-ils permettre d’empêcher la saturation des orbites et de nettoyer les débris existants ?
Tempête de sable à El Fasher au Nord Darfour.
UNAMID /Foter
La crise a engendré de nouvelles vulnérabilités pour les acteurs privés qui montaient en puissance ces dernières années.
Il y aurait actuellement en orbite plus de 130 millions de débris plus gros que 1 mm, à peu près 900 000 débris ayant une taille comprise entre 1 et 10 cm, et approximativement 34 000 débris plus grands que 10 cm.
Dotted Yeti / Shutterstock
Une régulation et un impôt forfaitaire sur les lancements de satellites permettraient de financer une politique efficace de dépollution de l’espace.
Photo satellite MODIS, enregistrée le 02 janvier 2020, avec en surimpression (en jaune) les points chauds qui correspondent à des feux actifs identifiés avec la mission VIIRS. On distingue aussi entre Melbourne et Sydney un important panache de fumée qui s’éloigne vers l’est porté par les vents.
NASA-VIIRS
Retour sur les incendies terribles en Australie de ce début d'année grâce à une observation satellitaire.
En 2012, l'université de Montpellier-Nîmes lance ROBUSTA, le premier CubeSat français, ici une unité cubique de 10 cm de côté.
Université de Montpellier
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Image de Neptune prise par Voyager 2, avec la Grande Tache Sombre et des nuages d'altitude.
NASA/JPL
Francis Rocard, Centre national d’études spatiales (CNES)
Allons-nous réussir à reprendre contact avec la sonde spatiale Voyager 2 après la rénovation de l’antenne qui sert à lui parler ? D’ici là, retour en images sur un voyage scientifique interplanétaire.
Traînées lumineuses laissées dans le ciel (photographié avec un long temps de pose), par des satellites Starlink, vues du Nouveau-Mexique, aux États-Unis.
Mike Lewinski / Flickr
Roland Lehoucq, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) and François Graner, Université Paris Cité
La société SpaceX, propriétaire du milliardaire, envisage de mettre en orbite 42 000 satellites ! Il n’y en a eu que 8 000 depuis le tout premier Sputnik. Quelles seront les conséquences de ce projet ?
En ce qui concerne les observations sur terre, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) compte sur des données prises par plus de 10 000 stations en surface, 1000 stations aérologiques et 3000 aéronefs commerciaux, entre autres.
shutterstock
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a tiré la sonnette d’alarme en raison de l’impact de la pandémie sur les données d’observations qui alimentent les modèles de prévision météorologique.