En l’an 2000 à Sydney, le pin de Wollemi est pour la première fois présenté au public dans le cadre de la manifestation Creatures of Wollemi.
WILLIAM WEST / AFP
Germinal Rouhan, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Ce très petit arbre, curiosité botanique mondiale, est devenu l’un des attraits touristiques des déserts côtiers d’Afrique australe en Namibie et en Angola.
À l’automne, le feuillage caduc de l’arbre prend une teinte jaune d’or de toute beauté.
Serge Muller/MNHN
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et Germinal Rouhan, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Originaire des montagnes de Chine, le ginkgo présente des caractéristiques hors du commun. Il résiste bien à la sécheresse et aux pollutions et s’avère donc bien adapté au milieu urbain.
Au cimetière du Père-Lachaise.
Claudia Schillinger / Flickr
Pour l’écrivain Julien Thèves, en résidence à Scy-Chazelles, l’auteur interprète les signes de manière sensible au contact de la forêt et de sa propre intériorité.
Les insectes et notamment les coléoptères (ici le téléphore fauve, à gauche, et une trichie commune), sont de bons pollinisateurs du châtaignier.
Rémy Petit
Les sous-bois jouent un rôle essentiel pour l’adaptation des espèces au changement de température, mais les pratiques forestières peuvent affecter ce microclimat.
L’homme entretien une relation intime, affective mais aussi ambiguë avec la nature.
Image by Free-Photos from Pixabay
Comment permettre aux plantes d’exprimer qu’elles sont une composante indispensable du vivant ? En faisant dialoguer art et sciences, une équipe de recherche ouvre des pistes.
Le Khejri, Prosopis cineraria, désert semi-aride du Rajasthan, 2016.
Myriam Baibout
Connaissez vous le khejri? De l'Arabie à l'Inde, cet arbre adapté aux conditions climatiques extrêmes est semeur de vie dans les déserts. Héritage sacré pour l’humanité, il est pourtant menacé.
Toutes les plantes ont besoin d'eau pour vivre.
Upklyak/Freepik
Tu as déjà dû te rendre compte que tes plantes ont besoin d’eau pour vivre, mais pourquoi exactement ? Et comment un arbre arrive à puiser de l’eau du sol et l’amener jusqu’à ses feuilles ?
Forêt des Landes de Gascogne, où les pins côtoient le feuillus, combinaison qui protège les arbres des ravageurs.
Larrousiney/Wikipedia
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Tout cet été, The Conversation France vous emmène battre le pavé des villes à la découverte d’arbres peu connus. Aujourd’hui, « Catalpa bignonioides ».
L’ombrage des mûriers blancs dans la rue du Commandeur, à Paris (XIVe).
Serge Muller/MNHN
Depuis la fin du confinement se multiplient les appels en faveur d’une école organisée en extérieur. Ce mouvement remet à l’honneur un courant pédagogique international déjà ancien. Explications.
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les zones urbaines doivent aujourd’hui prendre toutes les mesures possibles pour limiter les impacts des dérèglements climatiques sur les populations. Les forêts urbaines peuvent grandement y aider.
Chaque plante possède un nom commun mais aussi un nom scientifique international.
Pikisuperstar/Freepik
Jérôme Munzinger, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les plantes changent de noms selon les régions et les langues, alors pour que tout le monde puisse se comprendre, on a inventé les noms scientifiques internationaux.
Maître de conférences, chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), botaniste systématicien, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)