De nombreuses sortes de maquillage contiennent des substances capables de perturber le système endocrinien.
Charles Gullung/The Image Bank via Getty Imagges
Certains cosmétiques contiennent des substances qui ont été associées à des perturbations du système hormonal. Lesquelles, et quels en sont les risques, en particulier pour les jeunes femmes ?
Bouffées de chaleurs, sueurs nocturnes, « brouillard cérébral »… Les symptômes de la ménopause sont multiples. Comment les détecter et les prendre en charge ? Voici les recommandations scientifiques.
Micrographie électronique à balayage colorisée d'une cellule (rose) infectée par des particules du virus SARS-CoV-2 (vert et violet), isolée à partir d'un échantillon de patient.
Image prise au NIAID Integrated Research Facility (IRF) à Fort Detrick, Maryland / NIAID/NIH
Loin de n’être qu’un « banal » virus respiratoire, le coronavirus SARS-CoV-2 peut envahir de nombreuses sortes de cellules dans notre corps. Y compris dans le cerveau, normalement si bien protégé.
Respecter les conditions d’utilisation des protections périodiques est important pour limiter les risques pour la santé.
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Aurélie Mathieu-Huart, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)
La composition des protections féminines et les risques liés à leur usage sont une question de santé publique, comme en témoigne le récent décret encadrant leur étiquetage. Que faut-il savoir ?
Étudier la notion d'exposome vise à développer des politiques d'information, de prévention et de santé publique mieux ciblées.
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À quelles pollutions et paramètres environnementaux les hommes et les femmes sont-ils exposés tout au long d’une vie ? La notion d’exposome permet d’explorer cet enjeu crucial pour la santé.
Désormais, les enfants nés par PMA avec tiers donneur pourront à leur majorité accéder à l’identité de la personne a l’origine du don.
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Les personnes nées grâce à un don de gamètes ou d’embryon peuvent désormais connaître l’identité des donneurs. Un an après la création de la commission chargée de les accompagner, voici un premier bilan.
La fertilité masculine est quasiment divisée par deux après 40 ans.
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Le fait est connu pour les femmes : la fertilité baisse avec les années. Il l’est moins pour les hommes. Pourtant l’impact de l’âge, s’il se manifeste différemment, est tout aussi réel… Petit rappel.
Le microbiote spermatique est encore très peu connu malgré son impact sur la fertilité masculine.
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Le sperme contient-il autre chose que des spermatozoïdes ? Un microbiote méconnu s’y cache… S’agit-il de passagers clandestins inoffensifs, de précieux alliés ou de marqueurs de la qualité du sperme ?
Dans une manifestation pour l’extension de l’assistance médicale à la procréation, à Rennes, en octobre 2020.
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L’ouverture de l’assistance médicale à la procréation à toutes les femmes (la « PMA pour toutes ») a constitué une évolution majeure de la loi de bioéthique. Mais sa mise en œuvre est à la peine.
400 000 enfants sont nés grâce à la PMA en 40 ans.
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Depuis la naissance d’Amandine, où en sommes-nous de la fécondation in vitro en France ?
Bien que le déclin de la fertilité avec l'âge touche les hommes comme les femmes, ces dernières se voient davantage adresser des injonctions à avoir un enfant avant qu'il ne soit « trop tard ».
Ina Fassbender/AFP - Installation « Zeitfeld » par Klaus Rinke
Le seuil des « 35 ans », comme âge à partir duquel la fertilité chute, associe les femmes à des impératifs corporels et participe à une injonction plus forte à la maternité qu’à la paternité.
Prélèvements dans le jardin de Repainville pour analyser la composition du sol urbain.
UniLaSalle
Dans les jardins de Repainville, à Rouen, des étudiants ont aidé une association d’agriculture urbaine locale à analyser la qualité des sols avec des résultats très encourageants.
Un scénario apocalyptique annonce la fin de la production de sperme chez les humains ainsi que la menace d’une diminution de la taille du pénis. Mais est-ce scientifique?
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Les avertissements concernant la fin de la production de sperme humain ont récemment fait la une des journaux, avec en plus la menace d’un rétrécissement des pénis. Science ou sensationnalisme ?
Parce qu’il renferme des composés homologues aux hormones sexuelles féminines, le soja ne doit pas être consommé à la légère. Mais à la juste dose, on peut tirer parti de tous ses bienfaits.
Une bergerie de la plaine de Crau, datant du XIXe siècle et encore exploitée.
Lionel Roux/Maison de la transhumance
La pilule contraceptive n’est pas efficace à 100 %. Comprendre comment son efficacité est calculée et ce qu’elle signifie constitue une étape importante dans le choix d’un mode de contraception.
On a longtemps perçu le spermatozoïde comme un preux chevalier venant réveiller la princesse endormie.
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Au cours de l’histoire, le spermatozoïde a intrigué et inspiré toutes sortes de théories et de métaphores sur sa nature.
L’utilisation de modèles embryonnaires humains est indispensables, notamment pour étudier les premiers stades du développement.
Patricia Fauque / Centre d’AMP, CHU Dijon
Les progrès technologiques survenus ces dernières années permettent d’étudier le développement l’embryon comme jamais auparavant. Encore faut-il que la législation le permette.
Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Juriste spécialisée en droit de la famille, chercheuse associée au centre de recherche Droit, sciences et techniques, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne