Les bourgeons gustatifs, les structures qui nous permettent de sentir le goût, ne se trouvent pas que sur la langue. Les scientifiques en ont identifié dans d’autres parties du corps.
Derrière la fermentation, la torréfaction, le broyage qui transforment le cacao en tablettes de chocolat, bonbons et pâtisseries, c’est de la science qui se cache.
Notre penchant pour la nourriture épicée nous distingue des autres mammifères. Le piment est une épice bien populaire, mais comment cette affinité est apparue demeure un mystère.
Selon une recherche, les différences génétiques entre les populations influenceraient les échanges commerciaux internationaux, comme la distance géographique et les particularités culturelles.
L’engouement pour les glaces et les sorbets semble plus grand chaque année, en France. Mais connaît-on les origines de ce produit ? Et pourquoi plaît-il autant ?
Premier organe de notre système digestif, la langue subit des micro-lésions fréquentes. Les macrophages ont ainsi un rôle majeur pour éviter les infections.
Si, à l’origine, le chocolat est une boisson de luxe, il est aujourd’hui présent sous de multiples formes : tablettes, gâteaux, crèmes… Et la symbolique qui l’entoure est tout aussi variée.
Alors que les feux de forêt continuent de se propager, les producteurs de raisins et les viticulteurs de l’Okanagan doivent faire face à la menace de plus en plus fréquente des émanations de fumée.
Ces produits innovants, qui pourraient contribuer à limiter les phénomènes d’alcoolisme, souffrent encore d’un défaut de légitimité auprès des consommateurs.
Tandis que le changement climatique met en péril la culture de l’arabica, la redécouverte d’une délicieuse espèce sauvage à la Sierra Leone pourrait redonner espoir aux caféiculteurs.
Après plusieurs tests, les chercheurs ont résolu de nombreux mystères concernant la fermentation du cacao et les micro-organismes qui donnent si bon goût au chocolat.
On sait qu’à mesure qu’on vieillit, l’odorat perd en efficacité. Or c’est à lui que nous devons notre perception des aliments. Cette dégradation expliquerait-elle le plus faible appétit des seniors ?