Avec cette émission obligataire géante, Amazon rentre dans la cour des très grands émetteurs de dettes corporate et démontre sa puissance financière. Analyse de sa stratégie.
En signant des contrats « toxiques », les banques s’approprient des revenus générés par l’économie réelle. Analyse d'un contrat « toxique » signé par une municipalité iséroise en 2007.
La transition énergétique nécessite une forte innovation, des investissements public-privé et la mobilisation du monde de la finance. Quant à son impact sur l'emploi, c'est une destruction créatrice.
Quand un « fond activiste » s’en prend au numéro un mondial de l’agroalimentaire pour pousser les investisseurs institutionnels à réveiller cette belle endormie.
La volonté de relance de la construction européenne de Mme Merkel pourrait la conduire à faire des concessions sur la vision allemande de la monnaie, au prix d’une forte opposition interne.
Analyse du cas Hermès et de ses quatre forces : l’existence d’une vraie identité, la créativité et le savoir-faire des artisans, le sens de l’innovation et le maintien d’un groupe familial indépendant.
La finance solidaire cherche à soutenir les entreprises et les projets engagés dans l’amélioration des conditions sociales et la transition écologique, au sens large. Analyse de ce marché atypique.
La politique macroprudentielle est utile pour la stabilité financière, mais elle peut aussi constituer l’instrument d’ajustement macro-conjoncturel dont la zone euro a besoin.
Antoine Mandel, Paris School of Economics – École d'économie de Paris
La transition énergétique pourrait changer en profondeur la structure de production et la valeur de nombreux actifs financiers. Première évaluation du risque climatique pour le système financier.
Les effets délétères du court-termisme sur l’économie sont connus. La responsabilité des entreprises et des pouvoirs publics est partagée pour corriger la prégnance du « capitalisme trimestriel ».
On reproche souvent à la finance de ne pas savoir prédire les crises, et aux marchés d’être inefficients. C’est se tromper sur le sens du mot « efficience »… et sur le but des modèles financiers.
Crowdlending et financement participatif commencent à être critiqués en France. Un signe que leur développement doit sans doute être mieux expliqué et mieux régulé.
Né dans les années 1950, le concept de réseau de neurones artificiels a beaucoup progressé. Aujourd’hui connu sous le nom de « deep learning », il a investi de nombreux domaines, dont celui de la finance.
L’idée même de « libre circulation » des capitaux porte en elle le concept de mouvement sans contrôle. Qu’en est-il en ce temps de titrisation, de blockchain et d’évasion fiscale ?
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)