Après un master en philosophie du droit et un master en science politique, j'ai obtenu mon doctorat en science politique. Ma thèse (comme la plupart de mes travaux) porte sur l'animalisme et l'écologie politique. Je m'intéresse plus précisément à la politisation des mouvements sociaux, aux petits partis et, d'un point de vue plus théorique, à la représentation politique du vivant non-humain, questions que j'intègre dans une réflexion plus globale sur les transformations contemporaines des démocraties européennes.