Quels sont les systèmes d’IA à haut risque, et comment l’Union européenne propose-t-elle de les réglementer ?
Le premier ministre du Québec, François Legault (à gauche), le ministre de la Santé du Québec, Christian Dube (à droite) et Horacio Arruda, directeur national de la Santé publique du Québec (au centre) se rendent à la conférence de presse sur la pandémie de Covid-19, le mardi 20 avril 2021 à l'Assemblée nationale du Québec.
LA PRESSE CANADIENNE/Jacques Boissinot
Le gouvernement souhaite valider la perception sociale avant d’annoncer de nouvelles mesures en divulguant la nouvelle dans les médias. Cette tactique peut aider, mais elle ne garantit pas le succès.
Visage abstrait de l'Intelligence Artificielle créé par un système d'apprentissage machine réseau neuronal, alimenté par des données volumineuses, icône moderne, fond d'illustration 3d DeepFake Virtual Assistant.
Shutterstock
Les hypertrucages permettent aux individus et organisations mal intentionnés de créer et diffuser des tromperies. Or, la société n’est pas équipée pour agir avec discernement contre ce phénomène.
Plaquer des visages sur des vidéos ou des oeuvres d'art est devenu possible grâce aux réseaux de neurones artificiels.
Stephen Wolfram
Des vidéos truquées d’un réalisme déroutant sont réalisées grâce à des algorithmes d’apprentissage profond et brouillent les limites entre faits et fictions.
Grâce aux techniques d'hypertrucage, Loto-Québec a réussi à transformer un comédien en Bernard Derome des années 70 pour une publicité.
Loto-Québec
La capacité de détecter et d'analyser des vidéos truquées est de la plus haute urgence. Les contrefaçons constituent une grave menace pour la sécurité des personnes et nos institutions démocratiques.
Assistant Professor, Educational Technology, Chair in Educational Leadership in the Innovative Pedagogical Practices in Digital Contexts - National Bank, Université Laval
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School