Le rétablissement des frontières entre la France et l’Allemagne ne contribue pas nécessairement à l’endiguement de la pandémie et présente plusieurs côtés négatifs.
Philippe Frouté, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
L’offre de rachat américaine du laboratoire allemand développant un vaccin contre le Covid-19 souligne que la logique du profit l’emporte toujours, malgré les circonstances exceptionnelles.
La montée en puissance de l’extrême droite en Allemagne s’explique aussi bien par les difficultés des partis traditionnels que par un contexte économique et social propice à la progression de ses idées.
L’Allemagne ne serait plus le moteur de la croissance en Europe. Serait-elle en train de changer de modèle économique ? Et si oui, sous quelles contraintes ?
Le 3 février 2020, Valérie Pécresse plaide en faveur de l’ouverture à la concurrence des réseaux de transports en Île-de-France. Mais est-ce un gage d’amélioration du service ?
Le Parti chrétien-démocrate de la chancelière allemande Angela Merkel traverse une crise profonde que la récente démission de sa présidente, Annegret Kramp-Karrenbauer, a encore exacerbée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
L’acte de décès de l’OTAN a souvent été dressé depuis la fin de la guerre froide, y compris tout récemment, mais l’Alliance est toujours là et a peut-être encore de longues années devant elle.
Selon une étude, plus de 9 économistes sur 10 en France estiment qu’une relance budgétaire provoquerait un accroissement du revenu, contre 4 sur 10 en Allemagne.
Trente ans après la chute du mur de Berlin, certains observateurs vont jusqu’à affirmer que la réunification a été une catastrophe pour les Allemands de l’Est. Qu’en est-il réellement ?
30 ans après la chute du mur de Berlin, des images de surveillance secrètes nous offrent un regard sans pareil sur la vie des gens qui tentent de s’échapper d’est en ouest.
Les élections régionales qui viennent de se tenir dans trois Länder d’Allemagne de l’Est, marquées par les scores élevés de l’extrême droite, ont reflété le désarroi des anciens « Ossies ».
La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
La nouvelle tête de liste du FPÖ, parti autrichien fondé par d’anciens néonazis, espère convaincre les électeurs ce 29 septembre en prenant un virage écologiste.
Fabrice Raffin, Auteurs historiques The Conversation France
Comme souvent dans l’histoire, ceux que l’on désignait comme les marginaux sont devenus le centre, ils font la dynamique d’aujourd’hui et le patrimoine de demain.
Jérôme Caby, IAE Paris – Sorbonne Business School et Éric Lamarque, IAE Paris – Sorbonne Business School
En plus de la sous-performance de l’activité du groupe allemand, le plan de licenciement de 18 000 salariés, annoncé le 7 juillet, traduit sa persistance dans plusieurs erreurs stratégiques.
Le nationalisme progresse en Europe, où de nombreux partis politiques sont hostiles à l’immigration. Mais quel rôle joue-t-elle dans leur succès ? La recherche met en évidence des nuances inattendues.
Outre-Rhin, on ne trouve pas de « voie royale », mais un passage à l’université, des recrutements plus spécialisés et une élite connectée au sein de réseaux partisans plutôt que par leurs formations.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay