Menu Fermer

Articles sur suicide médicalement assisté

Ensemble des articles

Même pour un professionnel de la santé expérimenté, estimer l'espérance de vie d'un patient atteint d'une maladie grave est un défi. (Shutterstock)

Combien de temps vivra un être cher ? La réponse est difficile à entendre, mais ne pas savoir est encore pire

Une prédiction précise de l’espérance de vie peut devancer la tenue de discussions sur les préférences et les souhaits de fin de vie, ainsi que la mise en place des soins palliatifs.
En droit français, le concept de “souveraineté sur son corps” n'est pas reconnu. Plusieurs facteurs de ce type pourraient compléxifier la rédaction d'une loi encadrant la fin de vie. Vita Leonis / Unsplash

Aide active à mourir : de la difficulté du travail législatif à accomplir

L’autorisation de l’aide active à mourir pose de multiples questions légales. Conditions d’accès, consentement, droit à disposer de son corps… Le point sur les dimensions juridiquement sensibles.
file bbmx i.

« Controverses » : Fin de vie, la sienne et celle des autres, quels enjeux ?

Notre première série sur la « fin de vie » s’inscrit dans les débats qui agitent en ce moment la convention citoyenne. Derrière cette expression et son éventuel prolongement législatif, des propositions – suicide assisté, euthanasie, mort choisie – mais aussi des réalités difficiles à appréhender comme celle de la souffrance morale des personnes âgées.
Demander à une personne âgée de prendre une décision sur sa fin de vie n’est pas pour autant facile, y compris lorsque la famille et les personnels soignants paraissent avoir trouvé un accord. Spodzone / Visualhunt

Faire évoluer les conditions de la fin de vie ? Prenons le temps d’y travailler

Même si le droit à la fin de vie devenait une réalité juridique, d’autres défis à son application demeurent. Focus sur les directives anticipées : pourquoi sont-elles peu opérantes ?
Pour le personnel soignant, contribuer à donner la mort volontairement peut être éthiquement compliqué. David Werbrouck/Unsplash

La clause de conscience chez les professionnels de santé : quelle application pour la fin de vie ?

Dans le débat sur la fin de vie, ceux qui seraient amenés à mettre en œuvre l'aide active à mourir ne doivent pas être oubliés. Une clause de conscience spécifique pourrait-elle être instaurée ?
Le projet de loi C-7 vise à étendre l’aide médicale à mourir (AMM) aux malades souffrant seulement d’une maladie mentale. (Pixabay)

L’aide médicale à mourir élargie aux maladies mentales enfreint les règles qui protègent les personnes vulnérables

À la base des demandes d’aide médicale à mourir, il y a un problème de santé incurable. Mais il n’est pas possible de prédire qu’une maladie mentale ne s’améliorera pas.
Jean Truchon, à droite, observe l'avocat Jean-Pierre Ménard réagir à la décision d'un juge du Québec d'infirmer, le 12 septembre 2019, des parties des lois provinciales et fédérales sur l'assistance médicale à la mort. La Presse Canadienne/Graham Hughes

Aide médicale à mourir: voici pourquoi il faut aller en appel

Un juge ne doit pas être autorisé à restreindre le pouvoir du Parlement de promouvoir des intérêts sociétaux plus larges et de protéger les personnes âgées, malades et handicapées.

Les contributeurs les plus fréquents

Plus