Le cadre des objectifs de développement durable établi par l’ONU reste suffisamment vaste pour que les firmes sélectionnent d’abord ceux qui leur conviennent le mieux.
Les start-up positionnées sur l’innovation sociale peuvent rencontrer des difficultés de pérennisation de leurs modèles économiques. Quelques stratégies permettent pourtant de l’éviter.
Les émissions comme « Shark tank », dont une déclinaison française a été lancée en début d’année, cantonnent par exemple les femmes dans des secteurs liés au « care ».
Il existe dans cette région un réel potentiel d'innovation, notamment sur le plan social et environnemental. Certaines conditions restent encore à mettre en place pour l'exploiter au mieux.
La société accumule la production de richesses matérielles tout en se délitant. L’avenir est alors aux entreprenants, infatigables fabricants de relations.
On oppose souvent les méthodes rationnelles des entrepreneurs à l’engagement émotionnel, et rarement économiquement viable, des entreprenants du social. Cette distinction ne tient plus.
Ils inventent les activités physiques adaptées aux seniors, idée qui connaît un rayonnement extraordinaire. Pour atteindre leurs ambitions, ils ne veulent pas courir après le profit.
Secrétaire Général du réseau FEMISE, Délégué Général de l'Institut de la Méditerranée, Expert en Développement Durable et Innovation Sociale, Sciences Po