Les câbles à fibresoptique encerclent désormais littéralement l'Afrique, même si certaines parties du continent sont bien mieux connectées que d'autres.
Qu’ils craignent de nombreux dangers ou qu’ils n’en comprennent pas l’intérêt, beaucoup se montrent réticents à se plonger dans le monde virtuel dont Mark Zuckerberg et d’autres rêvent.
Les médias disent que le blocage de nouvelles de Meta met en danger la sécurité de citoyens. En adoptant cette rhétorique, ils reconnaissent leur relation de dépendance vis-à-vis de ses plates-formes.
La changement de nom s’inscrit dans une stratégie qui vise notamment à monétiser davantage les contenus et à endiguer la fuite d’annonceurs échaudés par les débuts d’Elon Musk à la tête de Twitter.
Le manque de contenus ou encore l’inconfort ressenti avec les casques freinent l’essor de la réalité virtuelle. Apple entre aujourd’hui sur le marché avec l’ambition de lever ces obstacles.
La réglementation européenne a imposé la mise en place de ces responsables qui se retrouvent souvent seuls et avec peu de moyens financiers au sein de leur organisation.
Se poser la question n’est pas sans pertinence, même si l’on veut toujours croire à un succès au moment de se lancer : la moitié des alliances échoue et la situation est souvent gérée à l’improviste.
Meta menace de retrancher les contenus journalistiques de sa plate-forme Facebook au Canada si Ottawa adopte le projet de loi C-18 sur les nouvelles en ligne. Bluff ou menace à prendre au sérieux ?