Jean-Marc Moura, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Il convient de distinguer trois réalités en matière de francophonie : la dimension politique, la francosphère et les littératures francophones.
Une ruelle de la commune de Longueil dans le Pays de Caux (580 hab) dont est originaire Charles Le Moyne qui a donné le nom à la commune homonyme de Longueuil au Québec (240 000 hab).
Office de Tourisme Terroir de Caux/Flickr
Le tourisme généalogique peut‑il répondre aux enjeux de redynamisation des campagnes françaises, de plus en plus vieillissantes et de moins en moins attractives ?
Étudier dans une autre langue, en ayant appris cette langue… mais comment ?
Pixabay
Contribution au débat sur la formation en langues des étudiants français spécialistes d’autres disciplines que les langues, dans le contexte actuel de réduction des moyens financiers et humains.
Des enfants quechua à Cuzco, au Pérou.
Rod Waddington/Flickr
Thomas Szende, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Toutes les langues, y compris lorsqu’elles sont faiblement diffusées, sont à la fois communautaires et modernes ; toutes véhiculent les principes d’universalité.
L’apprentissage des langues étrangères favorise l’ouverture d’esprit. Il permet de se familiariser avec d’autres modes de vie et d’accepter de vivre des situations sociales parfois inconfortables.
Soirée de parrainage des étudiants étrangers (ici à l'Université de Nantes).
Manuel MC/Flickr
La musique influence-t-elle la manière dont le cerveau perçoit les sons ? Et, si tel est le cas, peut-elle aider les plus petits dans l’apprentissage des langues ?
Cours de langue vivante à l'université.
Sylvain Thomas/AFP
De nouveaux moyens sont nécessaires pour dispenser un enseignement qui dépasse la dimension utilitaire d’une langue vivante et intègre sa dimension culturelle au sens large.
Manifestations en faveur des langues vivantes à l’école.
Joel Saget/AFP
Les langues sont autant de fenêtres sur le monde. C'est cela qu'il faut apprendre à l'école et c'est pour cela aussi qu'il faut développer les classes bilangues.
Accueillir les migrants ne suffit pas : comment les comprendre et les accompagner dans leur travail de reconstruction ? Les pratiques artistiques peuvent les aider à se reconstruire.
Même les plus jeunes peuvent apprendre les langues.
Patrick Bernard/AFP
Thomas Szende, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Les nouvelles technologies facilitent l’apprentissage d’une nouvelle langue. Mais une nouvelle langue est aussi un défi social et doit permettre à tous d’interagir au sein d’une communauté.
Maître de conférences habilitée à diriger des recherches en linguistique contrastive anglais-français et didactique des langues étrangères, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières