L’ère de l’exploitation des ressources lunaires approche rapidement. Comment le faire durablement – et légalement ?
La dernière fusée de la NASA (le Space Launch System) doit être lancée en août avec le vaisseau Orion à son sommet, pour entrer en orbite autour de la Lune.
NASA
Les futurs colons pourront peut-être faire pousser des plantes sur la Lune… mais pas n’importe où.
En raison du coût et de la complexité de l’alunissage, le tourisme lunaire paraît encore difficilement envisageable. Mais les tour-opérateurs travaillent sur des offres alternatives moins chères, comme des survols sans séjour à la surface.
Si quelque 7 millions de personnes peuvent aujourd’hui s’offrir un vol suborbital, et bientôt davantage avec la baisse des coûts d’accès à l’espace, le tourisme spatial de masse n’est pas pour demain.
Traînée lumineuse d'une capsule de rentrée transportant des échantillons collectés sur un astéroïde après avoir été libérée par la sonde spatiale japonaise Hayabusa-2, au moment de son entrée dans l'atmosphère terrestre, vue depuis Coober Pedy en Australie du Sud, le 6 décembre 2020.
Morgan Sette/AFP
L’exploration minière ne se limite plus à la terre, ni à la Terre : les entreprises et les États s’intéressent de plus en plus aux réserves situées dans les fonds marins mais aussi sur les astéroïdes.
Falaises dans de la glace ancienne sur Mars.
(NASA)
L’exploitation minière de l’espace est peut-être plus proche que vous ne le pensez. Mais il est urgent de régler les questions juridiques relatives à la propriété des ressources spatiales.