Leighton Kille, The Conversation; Thomas Hofnung, The Conversation e Wes Mountain, The Conversation
Que nous savons de l’efficacité des mal nommés « loups solitaires », leurs motivations et comportements ? Compte-rendu, en bande dessinée, d’un travail de recherche sur ce sujet de sécurité majeur.
Pierre Dac, « Drôle de guerre ».
Jeanne Menjoulet/Flickr
Virginie Martin, politologue et sociologue, interroge la psychotraumatologue Viviane Batton Paillat sur l’accompagnement des victimes d’attentats, y compris les secouristes.
Devant le Bataclan, à Paris, le 15 novembre 2015.
Desiderio Mauro/Wikimedia
Le confort trompeur de succès ponctuels contre des ennemis qu’on méprise et qu’on n’étudie pas prend toujours fin dans les larmes. 2015 est née de 2012.
A Toulouse, en janvier 2016, contre l'état d'urgence.
Gyrostat / Wikimedia
Fragiliser le fonctionnement aussi bien institutionnel que symbolique de l’État de droit a pour conséquence d’introduire de nouveaux « risques », et de susciter donc plus d’insécurité.
Rencontres d'étudiants de l'association Coexister, « le mouvement interconvictionnel des jeunes ».
Étienne Boulanger/Flickr
Dans une société où la croyance échappe largement au contrôle des grandes institutions religieuses, analyse de la pertinence du dialogue entre chrétiens catholiques et musulmans sunnites.
Rassemblement dans le cadre de « Nuit debout » à Toulouse, en 2016.
Pierre-Sélim/Flickr
Peut-on viser et tuer des personnes – françaises ou non – à l’étranger hors du contexte d’une intervention militaire française dans le cadre d’une guerre ?
Contrairement à l’hypothèse d’Emmanuel Todd, les villes ayant les niveaux moyens de préjugés implicites les plus forts sont celles qui ont participé le moins aux manifestations « Charlie Hebdo ».
« La Liberté guidant le peuple » vue par Romanski.
Romanski
La célèbre toile de Delacroix s’est prêtée à de multiples interprétations après les attentats de janvier puis de novembre 2015, passant d’un symbole de liberté d’expression à un symbole de solidarité.
Promenade des Anglais, Nice, 18 juillet 2016.
Valéry Hache/AFP
Au-delà des attentats de Paris, qui ont marqué les esprits, la majorité des attaques terroristes depuis 2012 sont marquées par la proximité et des stratégies territoriales à un échelon local.
Un agent de Frontex, à la frontière gréco-turque.
Rock Cohen/Flickr
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Depuis les attentats de novembre 2015, la France fait preuve de volontarisme politique en matière de lutte antiterroriste, donnant souvent l'impulsion au niveau européen.
Un couple quitte la place de la République le 10 janvier 2016 à Paris, après la commémoration des attentats à Charlie Hebdo et à l'Hyper Cacher.
Rosco/Flickr
Les hommages prévus le 13 novembre ne seront pas seulement bénéfiques pour les victimes du terrorisme et leurs proches. Ils soignent le traumatisme de la société tout entière.
Attentat anarchiste, à la fin du XIXᵉ siècle.
Wipedia/DR
Le terrorisme djihadiste, qui nous paraît si nouveau, voire étrange, ne fait souvent que réinvestir des pratiques anciennes, notamment chez les anarchistes. Démonstration en trois points.
Devant le Carillon et le Petit Cambodge, les deux restaurants visés lors des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.
Quentin Chevrier/Flickr
L’état de stress post-traumatique peut se manifester longtemps après un événement violent comme les attentats du Bataclan. Il entraîne une dissociation qui perturbe le quotidien de l’individu.
Hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015 devant le Consulat de France à Genève.
Erdrokan/Wikimedia
Une première mondiale : le programme « 13-Novembre » mobilise, sur 10 ans, des centaines de chercheurs pour explorer les enjeux mémoriels des attentats. Une réponse épistémologique à la tragédie.
La carte de séjour de l'auteur de l'attaque de Nice.
Police nationale/ AFP
Thomas Lindemann, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Plutôt que d’opposer les Lumières occidentales à un obscurantisme islamiste, il serait nécessaire de redécouvrir, dans la tradition critique, la violence potentielle de la raison.
Jacques Pothier, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le XXIᵉ siècle a été inauguré par les attentats du 11 septembre 2001. Mais cet événement avait été précédé lui-même par plusieurs drames sanglants aux États-Unis.
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie