Xavier Aparicio, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
La maîtrise de la langue joue un rôle important dans l’apprentissage des maths. Les élèves bilingues auraient-ils alors une longueur d’avance dans cette matière ? Que dit la recherche ?
Des recherches ont montré qu’une diminution du volume de l’hippocampe précède les signes de déclin cognitif chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
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Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Face à toutes les sollicitations numériques, notre cerveau a souvent bien du mal à rester focaliser sur une tâche.
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Face à toutes les sollicitations numériques auxquelles nous sommes confrontés, comment le cerveau tente-t-il malgré tout de rester concentré ?
Légende Dans le milieu médical, l'urgence, le stress, la charge cognitive ou émotionnelle, la fatigue… sont des facteurs liés à l'environnement de travail qui peuvent influencer la prise de décision (par exemple le choix d'un traitement, la pose d'un diagnostic, etc.)
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Des études suggèrent une tendance à la surconfiance des médecins dans leurs prises de décisions, tout en soulignant leurs capacités à distinguer les décisions correctes de celles qui sont erronées.
Micrographie électronique à balayage colorisée d'une cellule (rose) infectée par des particules du virus SARS-CoV-2 (vert et violet), isolée à partir d'un échantillon de patient.
Image prise au NIAID Integrated Research Facility (IRF) à Fort Detrick, Maryland / NIAID/NIH
Loin de n’être qu’un « banal » virus respiratoire, le coronavirus SARS-CoV-2 peut envahir de nombreuses sortes de cellules dans notre corps. Y compris dans le cerveau, normalement si bien protégé.
Faut-il interpréter les comportements animaux en prenant l'humain comme référentiel, ou au contraire faire l'hypothèse d'une séparation stricte qui rend notre espèce singulière ?
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Alors que la notion de spécisme est de plus en plus mobilisée pour décrire les relations des humains aux autres animaux, il faut cependant bien la distinguer de l’anthropocentrisme.
Aujourd’hui, seule une entreprise sur dix se préoccupe de l’inclusion de la neurodiversité.
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Les personnes atteintes de dyslexie ou encore d’autisme, malgré leurs compétences reconnues, restent victimes de discriminations sur le marché du travail.
En essayant d'être multitâche, nous reportons en réalité notre attention d'une tâche à l'autre rapidement, ce qui peut mener à une surcharge cognitive.
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La complexité du marché financier dépasse les capacités de traitement de l’information de la cognition humaine.
Nous parlons tous avec un accent. Mais certains accents sont discriminés. Il s'agit alors d'accentisme, un phénomène qui se rapproche du racisme.
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Un niveau de langue n’est ni bon ni mauvais, mais plutôt approprié ou non à un contexte. Il s’agit de savoir adapter son discours afin de maximiser la connexion entre les interlocuteurs.
Des changements de comportement tels que l’apathie, la difficulté à maîtriser ses pulsions ou une attitude socialement inappropriée peuvent indiquer un risque de démence chez les personnes âgées de plus de 50 ans.
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La démence ne se manifeste pas uniquement par des troubles de la mémoire. Les personnes qui en sont atteintes peuvent également présenter des problèmes d’apprentissage, de compréhension et de jugement, mais aussi des changements de comportement.
Dispositif expérimental où un cheval doit reconnaître un visage sur un écran.
Léa Lansade
Les cavaliers se posent tous un jour la question : leur cheval préféré peut-il reconnaître leur visage ?
Le « jamais-vu » survient lorsque quelque chose qu’on sait être familier semble tout à coup irréel ou nouveau. La principale explication scientifique du phénomène est la « satiation », qui consiste en une surcharge d’une représentation jusqu’à ce qu’elle en perde toute signification.
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Vous est-il déjà arrivé de regarder un visage familier et de le trouver soudainement inhabituel ou inconnu ? Il s’agit peut-être d’un cas de « jamais vu ».
Une classe de neurones inhibiteurs peut établir des connexions à longue distance entre les deux hémisphères du cerveau.
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Une meilleure compréhension des circuits cérébraux intervenant dans l’adaptation comportementale pourrait déboucher sur de nouvelles méthodes de traitement de plusieurs maladies, dont la schizophrénie.
La confiance en soi varie d’un individu à l’autre, mais pourquoi ?
Dans divers troubles de santé mentale, la confiance en soi est altérée. Pour pouvoir la restaurer plus efficacement et proposer des traitements plus adaptés, il faut d’abord en comprendre les mécanismes.
Lorsque nous comprenons mieux l'origine des idées créatives et les processus utilisés par le cerveau pour les produire, nous sommes mieux à même de mettre en place des stratégies pour favoriser notre potentiel créatif.
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La créativité est souvent considérée comme un phénomène spontané et inconscient. Cette perspective contraste avec les recherches contemporaines en psychologie cognitive et en neurosciences.
Des dispositions cognitives peu étudiées pourraient aussi être impliquées lorsque nous choisissons entre plats végétariens et carnés.
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Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)