Oiseaux, reptiles ou amphibiens… Les animaux exotiques vendus comme animaux de compagnie suscitent moins d’empathie que les grands mammifères, et la question de leur souffrance reste ignorée.
La « nature » en ville (quartier sud de Montpellier).
Raphaël Mathevet
Catastrophe pour l’industrie du tourisme, la crise a toutefois permis à certains sites menacés par un afflux trop important de visiteurs d’adopter des stratégies plus durables.
Le perroquet gris d'Afrique, une espèce rare en voie de disparition qui fait l'objet d'une surexploitation illégale.
Vincent Mayanja/AFP
Le commerce illégal d’espèces sauvages, comme les perroquets d’Afrique, risque d’accélérer leur l’extinction et représente une sérieuse menace pour la biodiversité.
Au nom d’une vision fantasmée d’une Afrique sauvage et paradisiaque, les organisations internationales qui orientent la gestion des parcs naturels africains vident ceux-ci de leurs habitants humains.
Visiteurs et babouins de Guinée s’observant mutuellement au Parc zoologique de Paris.
F-G.Grandin/MNHN
La bioacoustique étudie les sons qu’émettent et que perçoivent les êtres vivants. L’altération de cet échange d’information dans les écosystèmes a des conséquences désastreuses pour la planète.
Dans un gramme de yaourt, on dénombre quelque 10 millions de probiotiques, ces micro-organismes qui vont coloniser notre intestin.
Puhhha / Shutterstock
Un projet scientifique cherche à mieux connaître ces espèces végétales, présentes en grand nombre sur le territoire malgache.
Aussi appelé rascasse volante, le poisson-lion qui peut atteindre près de 50 cm possède de longues épines le long de sa nageoire dorsale.
Shutterstock/Vitality6447
Originaire du Pacifique Sud et de l’océan Indien, le poisson-lion a désormais élu domicile dans d’autres régions du monde. En Mer méditerranée, ce prédateur redoutable dévaste les écosystèmes marins.
Les contributions permises par la science citoyenne offrent aux chercheurs quantité de données sur des espèces présentes aux quatre coins de la France.
Shutterstock
Romain Julliard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Face au déclin de nombreuses espèces ordinaires, les vacances sont l’occasion pour les citoyens de 7 à 77 ans de faire avancer la connaissance de la biodiversité… pour mieux la protéger.
La première tortue géante de Fernandina jamais observée depuis 112 ans.
Galapagos National Park
Récemment, trois espèces que l’on croyait éteintes ont à nouveau montré signe de vie. Est-il réellement possible d’avoir la certitude qu’une espèce est morte ?
Le lac de Grand-Lieu (Loire-Atlantique) vu du ciel.
Cnes/Wikipedia
Zoomer sur les zones vulnérables nous aide à déterminer comment mieux protéger les étendues vierges de la planète.
En Europe, la libération d’une vaste surface de terres au cours des 40 dernières années a permis le retour d’ours, de loups et de lynx sur le continent.
Volodymyr Burdiak/Shutterstock
Si la biodiversité est menacée en Europe, des changements dans les mentalités et les modes de consommation ainsi que de nouveaux usages des terres agricoles aident à rester optimistes.
Église d’Ablain Saint-Nazaire aujourd’hui (Pas-de-Calais).
Photo. E. Danchin
Fallait-il ou non préserver les ruines de guerre ? Dès 1918 la question se pose et interroge l’idée même de souvenir, tandis que la France doit aussi se reconstruire.
Le gouvernement a fixé un objectif de rénovation thermique et environnementale de 500 000 logements par an. Mais l’intérêt de cette rénovation est soumis à de nombreux critères.
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Conservation Director, Wildlife Ecologist and Microbiologist at the African Conservation Foundation. Lecturer and board member at the Institute of Biodiversity and Non-Profit Studies, University of Buea