Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
De nombreux mineurs, en Chine, en Inde mais aussi aux États-Unis, connaissent aujourd’hui des conditions de travail proches de celles décrites dans les romans de Zola ou de George Sand.
Les travaux du GIEC ont permis d’établir le caractère indéniable du réchauffement global et la responsabilité de l’homme dans ce processus. Qu’attendre des prochains rapports du GIEC ?
Atelier de recherche des étudiant·e·s du MJMN, 3/5. La chercheuse Marieke Stein analyse les différentes étapes de la polémique sur le gaz de couche en Moselle-Est.
Si le nombre de décharges a connu ces dernières années une baisse sensible en France, ce dispositif désormais très réglementé constitue toujours une option économique de gestion de nos ordures.
Attendu pour octobre 2018, le rapport des experts du climat sur l’objectif d’un maximum de 1,5 °C de réchauffement soulève de nombreuses questions, notamment sur le rôle des émissions négatives.
L’analyse globale des résultats de ce nouveau Baromètre du marché de l’énergie confirme que la route vers un changement de modèle dominant de la mobilité est encore longue.
La diplomatie scientifique est celle où les intérêts de la science et ceux de la politique étrangère se conjuguent. Un exemple particulier est celui de la diplomatie du climat. Analyse de ses enjeux.
Pour réduire l’impact de son activité sur l’environnement, une entreprise doit prendre en compte non seulement les effets générés par sa production, mais aussi la fin de vie de ses produits.
Présenté le 7 février 2019, le projet de loi énergie-climat du gouvernement français substitue la division par 4 des émissions de gaz à effet de serre par la neutralité carbone à l’horizon 2050.
Améliorer l'efficacité énergétique, diminuer les émissions de gaz à effet de serre et faciliter la décentralisation du secteur électrique sont les trois priorités les plus pertinentes.
Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
La très attendue réforme du marché du carbone européen, décidée le 9 novembre 2017, pourra-t-elle relancer ce dispositif prévu pour accompagner la transition énergétique ?
Nos solutions techniques ne sont pas des solutions miracles. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’énergie et encore davantage dans celui du changement climatique.
Malgré la volonté de Washington de sortir de l’Accord de Paris, plusieurs États américains se mobilisent pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Les rencontres sur le climat se succèdent mais les résultats se font attendre. Le « One Planet Summit » pourrait s’inspirer du Protocole de Montréal pour mettre la finance au service du climat.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne