Une étude prospective fondée sur le « jeu des acteurs » montre que les discussions actuelles au niveau européen devaient impulser une période de mutation dans l’économie numérique, mais aussi au-delà.
Valéry Giscard d'Estaing en compagnie, de gauche à droite, du premier ministre britannique Harold Wilson, du président américain Gerald Ford et du chancelier ouest-allemand Helmut Schmidt, le 30 juillet 1975, au cours de la conférence au sommet sur la sécurité et la coopération à Helsinki.
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Au-delà de son image de promoteur de la construction européenne, quel bilan peut-on tirer de la politique étrangère qu’a conduite Valéry Giscard d’Estaing durant son mandat présidentiel ?
Angela Merkel et Viktor Orban à Berlin, le 10 février 2020.
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Avec le départ des députés britanniques, il ne reste au Parlement européen que des forces favorables à la préservation de l’UE. Le combat politique n’en sera pas moins acharné.
Mémorial aux victimes du communisme de Petřín, à Prague. Il s’agit d’un escalier qui va en rétrécissant et le long duquel descendent sept silhouettes masculines en bronze. La première, celle du bas, est entière, tandis que les autres disparaissent progressivement. C’est ainsi que le sculpteur Olbram Zoubek a choisi de représenter les souffrances des prisonniers politiques détenus dans les années 1950 par le régime communiste tchécoslovaque.
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Une récente résolution du Parlement européen condamnant conjointement les crimes du nazisme et ceux du communisme a mis le feu aux poudres. Analyse d’un nouvel épisode d’un long combat mémoriel.
Emmanuel Macron avec le CEO de Renault Carlos Ghosn en rendez-vous avec le leader de la Plateforme automobile Luc Chatel lors du salon auto 2018.
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La perception de la pratique du lobbying par les citoyens et par les décideurs publics est contradictoire, certains le considérant néfaste alors que d’autres y trouvent une source d’information.
Le futur probable premier ministre de Sa Majesté, Boris Johnson, le 4 juillet 2019, en visite de terrain dans le nord-est de l'Angleterre.
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Frédérique Berrod, Sciences Po Strasbourg – Université de Strasbourg
Après trois ans de tergiversations et de négociations infructueuses, l’horizon est en passe de se dégager au Royaume-Uni. Et c’est l’option d’un scénario dur qui émerge.
Jean-Luc Mélenchon, à Paris, le 23 juin 2019. Les élections européennes ont été une vraie déception pour lui.
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Électoralement, tout se passe comme si le mouvement des « gilets jaunes » n’avait jamais eu lieu : il est impossible d’en trouver une trace dans les résultats du scrutin de dimanche.
Vue de l'intérieur du Parlement européen à Bruxelles, le 26 mai 2019, transformé en salle de presse géante.
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Avec le nouveau Parlement, on se rapproche de la situation d’un Parlement national avec une majorité et une opposition : une majorité pro-européenne face à un ensemble de partis eurosceptiques.
Yannick Jadot (EELV), Nathalie Loiseau (Renaissance), Rafaël Glucksmann ( Place publique), Manon Aubry (France insoumise) et François-Xavie Bellamy (Les Républicains), le 9 avril, lors d'un débat télévisé.
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La question sociale n’est pas évacuée comme le sous-entend le discours du « ni gauche ni droite ». Or c’est bien elle qui a toujours structuré le clivage gauche-droite.
Le vote pour renouveler le Parlement européen a lieu entre le 23 et 26 mai 2019.
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Quels sont les points clefs de ce scrutin ? Et quel sera l’impact pour l’Union européenne de demain ?
A Münster, l'Union chrétienne-sociale (CSU), l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et le Parti populaire européen (PPE) lancent la campagne électorale européenne le 27 avril 2019. Au centre, Annegret Kramp-Karrenbauer (CDU). Deuxième à partir de la gauche, Markus Soeder (CSU). A eux deux, Manfred Weber (PPE).
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Comment l'Union européenne est-elle perçue, de Rome à Oslo, en passant par Berlin, Amsterdam, Stockholm et Prague ? A l'occasion du renouvellement du Parlement européen, six experts répondent.
Malgré quelque 1 500 brochures publiées par an, moins de 15 % de la population européenne est capable de répondre à des questions précises sur le fonctionnement de l’UE.
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Une diffusion trop massive ou encore la priorité donnée à la communication numérique sont autant d’éléments qui brouillent les messages et creusent le fossé entre les institutions et les citoyens.
Viktor Orban et Matteo Salvini, à Milan, en août 2018.
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La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
De nombreuses multinationales comme Google ont choisi d'installer leurs locaux européens en Irlande, où le taux d’imposition sur les sociétés est plus bas qu’ailleurs.
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Même si des progrès ont été réalisés ces dernières décennies, la fin de la course au moins-disant social et fiscal apparaît encore comme une perspective lointaine dans l’UE.
Malgré les crises à répétition, les projets de changement de gouvernance de la zone euro restent dans les limbes.
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Ce dont l’Europe meurt depuis 20 ans, c’est de l’immobilisme des progressistes autoproclamés qui, tout en clamant être les « bons Européens », sont surtout les défenseurs d’un statu quo intenable.
Session au Parlement européen, à Strasbourg, en février 2019.
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Des mesures donnant plus de pouvoir au Parlement européen en matière fiscale pourraient enrayer la baisse du taux de participation aux élections. Reste à en convaincre Paris, Rome et Berlin.
Emmanuel Macron et le président du Conseil italien, Giusepe Conte, le 15 juin 2018 à Paris.
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La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
La nouvelle politique européenne marque un virage vers une transparence accrue.
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La récente réforme du règlement intérieur du Parlement européen vise à favoriser la transparence. Les activités de lobbying sont directement concernées.
Le PDG de Facebook Mark Zuckerberg lors d'une rencontre avec Emmanuel Macron en marge de l'événement « Tech for Good » à Paris, en mai. Es-ce l'avènement d'une co-gouvernance entre méta-plate-formes et états souverains?
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La validation d’une base de données biométriques fichant tous les Français et la gestion de la censure par des entreprises comme Facebook achèveront-elles notre démocratie ?
Professeur des Universités, directeur du master en relations franco-italiennes, Université Côte d'Azur, Chercheur associé à la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS, Paris), professeur et membre du CISS de l'université LUISS de Rome, Université Côte d’Azur