La baisse observée de la productivité du travail s’explique par d’autres facteurs qu’une efficacité moindre des salariés. Ces causes s’estompant, des destructions d’emplois sont à anticiper.
Une étude menée auprès d’employés de maison à Calcutta montre que les vexations infligées par les employeurs contribuent à l’efficacité de leur travail malgré un niveau de salaire très bas.
Les décisions des directeurs des systèmes d'information prennent de plus en plus d’importance à mesure que les outils numériques se déploient dans les organisations.
Une étude menée en Belgique met en évidence un niveau optimal d’ancienneté au-delà duquel les liens entre longévité au sein d’une organisation et efficacité se desserrent.
Plusieurs études montrent que le lien entre une collaboration efficace et le travail en présentiel, qui favorise les échanges informels, n’est pas aussi fort que les ressources humaines ne le pensent.
Une organisation du télétravail co-construite avec les salariés permet de concilier bien-être et productivité. Cependant, des managers témoignent de certaines entraves à ce type de projet.
Le télétravail produit des performances remarquables grâce à de meilleures conditions de travail, à une gestion du temps mieux adaptée, et au bien-être qui amène reconnaissance et loyauté.
Déjà contestée, la mesure de l’efficacité se complique en raison du passage au télétravail qui a provoqué une transformation des facteurs de production travail et capital.
À l’échelle des organisations, le stress peut produire des effets positifs. Il incombe alors aux dirigeants d’apprendre à le canaliser et à mieux le gérer.
La faiblesse de l’activité économique et la hausse du coût du crédit ont découragé certains entrepreneurs dans leur projet, ce qui a pesé sur l’emploi et la productivité au niveau macroéconomique.
La région ouest-africaine connaît des défis pressants à relever en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, de lutte contre la pauvreté rurale et de recherche d’une agriculture durable.
Si leur impact reste globalement positif, l’efficacité des dispositifs partage des bénéfices dépend de paramètres comme le contexte institutionnel ou la présence de syndicats.
La réduction des heures de travail serait non seulement rentable grâce à l'augmentation de la productivité, mais elle serait nécessaire au bien-être de l'humain et de la planète.
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)