Dans beaucoup d’industries, les firmes les plus puissantes rachètent les start-up et cherchent à élever les barrières à l’entrée du marché, ce qui freine le dynamisme entrepreneurial et l’innovation.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L’environnement de travail, mais aussi la reconnaissance ou encore la notion de métier participent à l’épanouissement des équipes – et donc à leur performance.
Cinq raisons, listées ici en toute subjectivité, qui assoient l’avenir économique de l’Afrique subsaharienne malgré les événements violents et dramatiques dont elle est régulièrement le théâtre.
Une étude menée par des professeurs d’Audencia avec l’institut BVA remet en cause ce qui est généralement affirmé lorsque l’on évoque le rapport au travail des Français.
Si les employés sont tenus d'être disponibles et connectés après les heures de travail, ils devraient également être autorisés, voire encouragés, à dormir au travail.
Des applications qui intègrent les fonctionnalités de l’intelligence artificielle permettent aux organisations de se doter de processus plus efficaces et de proposer de meilleurs services.
La vision de la performance des salariés a intégré des aspects qui dépassent les questions de temps. Pourtant, les limitations des pauses, par exemple, restent très répandues. Pourquoi ?
Les modèles d’évaluation de la contribution technologique fonctionnent mal. C’est d’autant plus dommage que les entreprises tendent à faire des erreurs stratégiques en matière de productivité.
En 1951, l’économiste Joseph Schumpeter expliquait que le capitalisme « éliminait les éléments vieillis en en créant continuellement des nouveaux ». Une théorie mise à mal par le contexte actuel.
Ce que les scientifiques préconisent pour soigner la « cyberaddiction » contemporaine, qui affecte notre qualité de vie et nos capacités de concentration.
Ina Toegel, International Institute for Management Development (IMD) e Maude Lavanchy, International Institute for Management Development (IMD)
Que ça vous plaise ou non, la Coupe du monde de la FIFA 2018 a débuté le 14 juin. Et si cette effervescence, loin d’être contre-productive, était bénéfique à l’entreprise ?
Depuis quelques années, le mot « accélérateur » est à la mode. Il est partout. Des agences, des regroupements d’entrepreneurs, des écoles, tous prétendre créer des accélérateurs.
Contrairement aux idées reçues, les mesures obtenues par les syndicats ne sont pas nécessairement contraires aux intérêts économiques des entreprises. Il faut donner un nouvel élan au syndicalisme.
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)