La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Un parti socialiste ressuscité, des conservateurs aux abois, Podemos en arbitre et le mouvement Vox qui entre au Parlement : c’est un nouveau paysage politique qui a émergé en Espagne ce dimanche.
Même si, ces dernières années, le problème de la désertification est de plus en plus évoqué en Espagne, les thèmes de l’agriculture et de la ruralité restent marginaux dans les débats nationaux.
Pour réduire les inégalités, les élus américains du Parti démocrate veulent mobiliser cet outil fiscal qui a été progressivement abandonné ces dernières années dans les pays européens.
Situées aux marges de l’UE, la Turquie et la Biélorussie présentent deux fonctions stratégiques, celles de réunification et d’articulation des ensembles à la jonction desquels elles se situent.
Les pays nordiques dominent les indices d’égalité de genre grâce à leurs politiques en matière de garde d’enfants et de congés parentaux généraux. Mais ces congés ont-ils vraiment l’effet escompté ?
Même si des progrès ont été réalisés ces dernières décennies, la fin de la course au moins-disant social et fiscal apparaît encore comme une perspective lointaine dans l’UE.
Comment instaurer une intelligence artificielle « digne de confiance » ? Quels en seraient les fondements juridiques et règlementaires ? Qui peut agir, en Europe et en France ?
Les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-Sept ont opté pour une extension « flexible » jusqu’au 31 octobre 2019, qui s’articule autour de deux dates et repose sur deux principes fondamentaux.
Les Européennes n’échappent pas à la règle : rien n’est moins innocent politiquement que de fixer un seuil électoral, un dosage de proportionnalité, un nombre de sièges à pouvoir.
Ce dont l’Europe meurt depuis 20 ans, c’est de l’immobilisme des progressistes autoproclamés qui, tout en clamant être les « bons Européens », sont surtout les défenseurs d’un statu quo intenable.
Le Brexit représente une épreuve d’Hercule pour la démocratie britannique, qui doit vivre avec la concurrence de deux souverainetés : celle du Parlement et celle du peuple.
Tout reste encore envisageable, mais c’est au Royaume-Uni qu’il revient de prendre une décision avant le 12 avril, et d’endosser enfin la responsabilité de ses choix, quels qu’ils soient.
Entre progrès technologiques et contraintes environnementales, difficile d’imaginer avec précision à quoi ressemblera demain l’activité des constructeurs…
Sous la pression d’une extrême droite qui monte en puissance, les autorités de Stockholm ont peu à peu remis en cause la tradition d’accueil et d’hospitalité du pays.