Le climat des affaires semble désormais très favorable à la croissance et aux États-Unis. La reprise se trouve cependant menacée par des tensions sur les chaînes d’approvisionnement et sur les prix.
Les entreprises espèrent une hausse de 10 % de leur chiffre d’affaires au cours de l’année 2021.
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Les entreprises anticipent un rebond marqué de l’activité mais les tensions sur les chaînes d’approvisionnement et la gestion de la sortie de crise pourraient venir contrarier cet optimisme.
Dans de nombreuses zones économiques du monde, les entreprises anticipent un fort rebond de l’actualité dans les prochains mois.
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À l’échelle mondiale, l’indicateur d’optimisme retrouve des niveaux d’avant crise. Les entreprises s’attendent à un fort rebond de l’activité en 2021.
L’indicateur a retrouvé courant juin les niveaux observés avant la crise du Covid-19, traduisant un soulagement lié à la stagnation de la crise.
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Les responsables financiers se disent nettement plus optimistes qu’à la fin du premier trimestre, mais hésitent toujours à relancer les projets d’envergure.
Début mars, les responsables financiers tablaient encore sur une progression moyenne d’environ 4% de leurs chiffres d'affaires pour l'année 2020. Aujourd'hui, le recul moyen anticipé se situe entre 4% et 6%.
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Même si une récession plus grave qu’en 2008-2009 est désormais attendue, certaines entreprises avaient déjà anticipé un ralentissement en prenant notamment des mesures de désendettement.
Plus des trois quarts des entreprises américaines envisagent une récession avant la mi-2021.
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Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
La situation économique sera l'une des clés de la prochaine élection présidentielle américaine.
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La dernière enquête Duke University–Grenoble École de Management révèle de fortes inquiétudes chez les responsables financiers américains.
67% des directeurs financiers américains estiment que les États-Unis seront en récession d’ici le troisième trimestre de 2020.
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Plus d’une entreprise française sur deux anticipe un recul marqué de l’activité dans les prochains mois. Ce pessimisme reste plus mesuré ailleurs en Europe, ou en Amérique.
Le ralentissement économique n'a pas encore d'effets sur la dynamique de l'emploi.
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Les entreprises ont de plus en plus de mal à attirer et à conserver une main-d’œuvre qualifiée. La dernière enquête Duke University/GEM relève que ces difficultés se retrouvent dans de nombreux pays.
La progression forte de la notoriété de ces technologies auprès des responsables financiers devrait leur assurer un avenir radieux.
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84 % des responsables financiers européens ont une connaissance de la blockchain. Il y a fort à parier que la diffusion importante des concepts clés de cette technologie permettra son adoption rapide.
Les niveaux enregistrés aussi bien en Europe qu’aux États-Unis permettent d’anticiper un maintien de la croissance économique sur des niveaux relativement importants.
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L’enquête du dernier trimestre 2017 montre un optimisme sans précédent en Europe, une accélération du rythme des innovations et le souhait des responsables financiers de réduire leur temps de travail.
Grenoble École de Management et l’Association des directeurs financiers et des contrôleurs de gestion récoltent l’avis des responsables financiers français. Enquête du 22 août au 7 septembre 2017.
Grenoble École de Management et l’Association des directeurs financiers et des contrôleurs de gestion récoltent l’avis des responsables financiers français. Enquête du 21 février au 9 mars 2017.
Optimisme et agacement : tel apparait le cliamt des affaires aux Etats-Unis au premier trimestre 2017.
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L’enquête Duke University–Grenoble École de Management sur le climat des affaires au premier trimestre 2017 montre un mélange d’optimisme et d’agacement face à la politique économique américaine.
Sur le quai du métro à Londres. Selon sa culture, chacun se montre plus ou moins familier avec des personnes rencontrées pour la première fois.
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Faire preuve de familiarité vis-à-vis d’une personne rencontrée pour la première fois est souvent mal perçu en France. Ce n’est pas le cas dans d’autres pays, comme les États-Unis ou le Brésil.
Comment Trump fait grimper le climat des affaires…
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