Le transport maritime sur le Saint-Laurent est en cours d'adaptation au changement climatique en adoptant des technologique intelligentes, durables et en se décarbonisant.
La France n’est pas en ordre de marche pour atteindre ses objectifs climatiques d’ici 2030 alors qu’un développement massif des actions d’adaptation face aux impacts du réchauffement s’impose.
La première ministre Elisabeth Borne sera en charge de la planification écologique et énergétique du pays. Pourtant, de tels plans existent déjà, mais ne sont que peu suivis.
Si la cyclologistique représente à première vue une aubaine pour réduire l’impact carbone du e-commerce, elle pose un certain nombre de défis au sein des villes.
Quand un pays a recours à des infrastructures numériques basées sur des plates-formes informatiques « cloud » étrangères, sa souveraineté numérique peut être en danger.
Le transport de marchandises contribue à hauteur de 7 % aux émissions mondiales de CO₂, mais la réduction de cette part entraînerait d’autres effets sur l’environnement.
Le plan de relance France 2030 fait la part belle au nucléaire avec les « SMR ». Comment fonctionnent ces réacteurs innovants ? Quand seront-ils déployés ?
La COP26 a été l’occasion d’avancées et d’annonces, mais les engagements des États – en plus de devoir passer l’épreuve de leur mise en œuvre – sont largement en deçà de ce qu’exige la science.
Géo-ingénierie de capture et de stockage du carbone, réhabilitation des écosystèmes, hausse progressive du prix du carbone… Les leviers d’actions existent pour éviter la décroissance.
Le Canada ne cessera pas l’exploitation de son pétrole du jour au lendemain. Les métiers spécialisés seront essentiels pour mettre fin à l’industrie et créer de nouveaux emplois.
Des pays comme le Canada se sont déjà appropriés les émissions de carbone dont ils disposaient et empêchent certains pays de pouvoir disposer des leurs, car le budget mondial restant est inextensible.
Natacha Tréhan, Grenoble IAE Graduate School of Management
Changer régulièrement de partenaire, c’est prendre le risque de ne plus être approvisionné… Ou bien de l’être avec des produits qui ne satisfont pas ses objectifs environnementaux.
L'objectif de neutralité carbone change tout. Le Canada ne peut plus se limiter à des solutions qui réduisent partiellement les émissions ici et là. La solution choisie doit être zéro émission.
La conjoncture post-Covid, le fonctionnement des marchés, la nécessaire décarbonation de l’économie mondiale : autant de facteurs qui expliquent les effets yo-yo des prix de l’énergie.