Un rapport du gouvernement provincial montre que les municipalités québécoises sont plus actives qu’on ne le pense en matière de développement durable.
Des tactiques politiques intentionnelles sont mises en place dans le but de ralentir ou de bloquer l’action concrète pour contrer les changements climatiques et abandonner des produits pétroliers.
La décarbonation, qui nécessite beaucoup de capital, conduit les grandes entreprises à délaisser progressivement la recherche de l’avantage concurrentiel par la baisse du coût du travail.
Si John Tyndall est considéré comme un pionnier de l’étude de l’effet de serre, une Américaine oubliée par l’histoire avait quelques années d’avance sur lui.
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Alexandre Lillo, Université du Québec à Montréal (UQAM); Alycia Leonard, University of Oxford; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Justine Bouquier, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
L’accord historique pour le financement des pertes et préjudices a été éclipsé par l’absence de progrès dans l’élimination progressive des énergies fossiles.
Aux niveaux actuels d'émissions, il y a 50 % de chances que la planète atteigne la hausse de température moyenne mondiale de 1,5 °C dans les 9 ans à venir.
La mer Noire est le plus important bassin de méthane dissous de la planète, mais il y en a aussi dans le golfe de Gascogne. D’où vient-il et quels sont ses impacts ?
Les entreprises parlent de carboneutralité, décarbonisation atteinte du net zéro. Certaines visent même l’horizon 2030. À l’heure actuelle, il s’agit d’objectifs quasi impossibles.
Lilian Joly, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) and Thomas Lauvaux, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Les bilans carbone sont pour l’instant très incertains, et il peut être difficile de savoir si l’on atteint les objectifs de réduction d’émissions. Des pistes pour progresser.
Si les feux de forêt se multiplient, ils demeurent l’un des phénomènes les plus mal compris sur Terre. De nouvelles recherches montrent qu’ils peuvent perturber le climat régional et mondial.
Aurélien Boutaud, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) and Natacha Gondran, Mines Saint-Etienne – Institut Mines-Télécom
Dépasser les limites planétaires mettra en péril l’équilibre global du système Terre. Un point de rupture dont nous approchons, en dépassant les « frontières » ouvrant sur les zones critiques.
Les tourbières asséchées contribuent à 5 % des émissions mondiales de carbone. La paludiculture protège les tourbières et permet aux agriculteurs de conserver leurs moyens de subsistance.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne