Alors qu’une semaine ou deux suffisent généralement pour les draps, il est préférable de laver les serviettes tous les deux jours. Voici les explications d’un microbiologiste.
Quand on mange dans un buffet, on court le risque d’être victime d’une intoxication alimentaire.
(Shutterstock)
Vous ne verrez plus jamais la salade en sachet de la même façon.
Une mauvaise hygiène bucco-dentaire peut déséquilibrer les colonies de bactéries qui peuplent la bouche et augmenter le risque de développer des pathologies sérieuses, notamment des maladies cardiovasculaires.
PeopleImages.com - Yuri A/Shutterstock
Nous négligeons souvent notre hygiène bucco-dentaire. Des recherches ont pourtant montré que la présence de bactéries nocives dans la bouche peut augmenter le risque de survenue de certaines maladies.
Que faire si une mouche à fruit se noie dans votre verre de vin? Connaissant les endroits peu ragoûtants où ces insectes se tiennent, peut-on encore le boire?
Anne Webber/Shutterstock
Un microbiologiste explique quel est le risque pour votre santé de boire un bon sauvignon blanc bien frais dans lequel une mouche à fruit s’est posée.
Les pellicules sont principalement causées par la levure Malassezia. Cette levure vit sur la peau de la plupart des gens, soit à la surface, soit dans l’ouverture du follicule pileux, la structure qui entoure la racine et la mèche d’un cheveu.
(Shutterstock)
Afin de mieux assurer la qualité des eaux de baignade et des coquillages, il faut d’abord identifier les sources de contamination microbiologique, souvent d’origine fécale.
Même si vous êtes content d'être enfin arrivé à l'hôtel, ne vous installez pas sur le dessus de lit…
Friends Stock/Shutterstock
Elles nous paraissent être des havres de paix, le point de chute idéal en vacances. Mais les chambres d'hôtel sont surtout un nid douillet pour les microbes ! Le point de vue d'une microbiologiste…
La sale vérité à propos de l'usage du portable aux toilettes…
Canva/Shutterstock
Notre portable nous suit partout : dans la rue, à table, aux toilettes… jusqu'à notre lit. Pensez-vous à le nettoyer ? Pensez maintenant aux microbes qui y prospèrent… Les bonnes pratiques à adopter.
Vue d’un des sites de mangrove où Thiomargarita magnifica a été identifiée en Guadeloupe.
Silvina Gonzalez-Rizzo
Une bactérie est un microbe, donc par définition invisible à l’œil nu. Pourtant la découverte de bactéries géantes vient rebattre les cartes de notre classification du vivant.
Quand on entre dans un jacuzzi, tout ce qu'on a sur notre peau se dépose dans l’eau chaude qui tourbillonne autour de nous.
Shutterstock
Lorsqu’on se détend dans l’eau chaude d’un spa, il est fort probable qu’on respire ou avale les bactéries, les virus et les champignons des personnes qui partagent le bain avec vous.
Un virus a été réveillé en laboratoire après 50 000 ans passés dans le permafrost sibérien. Un phénomène qui peut se produire dans la nature suite au réchauffement climatique. Qu’en sait la science ?
Sur cette image obtenue par microscopie électronique à balayage (MEB), on peut voir deux amibes (Acanthamoeba polyphaga). L'amibe de droite est au stade de trophozoïte, capable de se déplacer. L'amibe de gauche est au stade kystique : entourée d’une paroi qui la protège, elle est en dormance.
CDC/ Catherine Armbruster; Margaret Williams
Quand les conditions deviennent hostiles, de nombreux microbes forment des kystes, des formes dormantes leur permettant de survivre jusqu’à plusieurs décennies. Un problème quand on veut les éliminer…
Les microbes sont partout autour de nous et certains sont très utiles.
GoodStudio/Shutterstock
Les microbes que nous connaissons aujourd’hui sont le fruit de milliards d’années d’évolution, certains sont nocifs, d’autres indispensables à notre survie.
Les bleuetiers appartiennent à la famille des Éricacées, tout comme les rhododendrons ou la canneberge.
(Simon Morvan)
Le bleuet sauvage, cette petite baie bleue qui ravit les papilles est très populaire en raison de ses qualités gustatives, mais aussi de ses bienfaits pour la santé. Mais comment est produit ce fruit ?
Comprendre les étapes décisives franchies fin XIXe s. en microbiologie est fondamental pour comprendre la situation actuelle.
fotohunter/Shutterstock
La crise du Covid a révélé les carences en culture scientifique – et en microbiologie. D’où l’intérêt de redécouvrir les travaux pionniers, notamment via le regard d’un expert du XIXᵉ, Hector Lebrun.
Outre le fait que manger une crotte de nez est dégoûtant, cela revient à ingérer des germes contenus dans le mucus, des métaux toxiques et des contaminants environnementaux.
(Shutterstock)
On a souvent l’idée que les microbes sont mauvais pour la santé, pourtant, sans certains d’entre eux, on ne pourrait pas vivre.
Les propriétés du sirop d’érable peuvent être influencées par différents facteurs, d’origine environnementale, végétale, microbiologique et technologique.
(Shutterstock)
Le mystère entourant le goût du sirop d’érable réside entre autres dans la complexité chimique fine de cet aliment, qui est d’ailleurs très variable d’un sirop à l’autre.
Un blob Physarum polycephalum.
Le Bernemi/Wikimedia
Maitre de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication habilitée à diriger des recherches à l'Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), Université Bordeaux Montaigne