Ces dernières années, les élus du RN se sont montrés moins favorables que ceux du camp présidentiel ou des forces de gauche aux textes visant à renforcer la protection des droits des femmes.
Les femmes n’ont compté que pour moins de 10 % des candidats aux élections législatives qui viennent de se tenir en Inde, reflet de la place secondaire qui est encore la leur en politique.
La grève féministe connaît un regain depuis la seconde moitié des années 2010, devenant l’une des revendications de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes du 8 mars.
L’héroïne du film de Yorgos Lanthimos offre l’occasion rêvée de percevoir les possibles dissonances entre la « tenue » sociale et les costumes que l’on porte.
En janvier 2024, la CJUE a reconnu pour la première fois que les femmes pouvaient, sous certaines conditions, être reconnues réfugiées du fait de leur genre.
Le secteur agricole continue à se représenter au masculin alors que les femmes sont de plus en plus présentes dans les arènes décisionnelles et les instances de gouvernance. Décryptage d’une invisibilisation.
Les féministes du XXIᵉ siècle sont parfois taxées d’extrémisme. L’Histoire nous montre que ce chiffon rouge est souvent agité notamment lors des débats sur l’accès des femmes à l’éducation secondaire.
Une jeune femme qui s’inscrit dans une auto-école bénéficie-t-elle de la même formation qu’un jeune homme ? Regard sur ces différences d'accès au permis de conduire, accessible désormais à 17 ans.
Le Maroc peut devenir le pays avant-gardiste du monde arabe en adoptant l’égalité, les libertés individuelles et la démocratie qui peuvent s’avérer compatibles avec un islam moderne et humaniste.
Ces jeux seront les premiers de l’histoire olympique à être paritaires. Pour autant, peut-on parler d’égalité entre les femmes et les hommes dans le paysage sportif français ?
En Iran, le voile est au cœur d’une guerre de la visibilité : son port est scruté d’un côté, tandis que son absence est brandie sur les réseaux sociaux comme un signe d’émancipation .
Les deux années de règne des talibans en Afghanistan nous ont appris que les initiatives classiques en matière de droits de la personne ne suffisent pas à lutter contre l’apartheid de genre.
Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Professeure à l’Université Panthéon-Assas Paris II et membre du Centre d’études et de recherches de sciences administratives et politiques (CERSA), Université Paris-Panthéon-Assas