Roberto Silvestro, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Une augmentation de la période de croissance des arbres, en raison du réchauffement planétaire, ne correspond pas nécessairement à une plus grande production de biomasse de bois.
Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
Changement climatique, maladies, ravageurs… De nombreuses menaces pèsent sur les arbres. Heureusement, ceux-ci peuvent compter sur leur forte diversité génétique pour s’adapter et survivre.
Maxence Martin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
L’éloignement et les dimensions modestes des arbres des vieilles forêts boréales ne doivent pas nous faire oublier leur haute importance écologique, ainsi que les nombreuses menaces pesant sur elles.
L’exploitation forestière des deux derniers siècles a eu un impact majeur sur les forêts québécoises, mais les traces qu’elle a laissées guideront dans l’adoption d’un aménagement forestier durable.
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
Claudio Mura, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Patricia Raymond, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Le climat en rapide changement présente de nombreux défis à affronter pour assurer la durabilité des écosystèmes forestiers. La migration assistée est un outil qui permet de faire face à ces enjeux.
Piéger plus de CO₂ qu’on en émet, voilà le principe du puits de carbone. Il en existe des naturels – comme les forêts – et d’autres artificiels, en cours de développement technologique.
Comme le montre une étude menée en RDC, les liens entre sécheresse et déforestation dépendent notamment de la saison à laquelle le phénomène se produit.
Le rendez-vous qui se tient en ce moment au Gabon ne doit pas focaliser les solutions sur la protection stricte des espaces et des ressources naturelles.
Décryptage d’un nouveau règlement qui prévoit d’empêcher la mise sur le marché de l’Union européenne de produits associés à la déforestation et à la dégradation des forêts.
Les amanites tue-mouche poussent bien cet automne. Utilisée depuis la Grèce antique comme substance hallucinogène, elle surprend aujourd’hui par les liens qu’elle tisse avec les arbres.
Les progrès technologiques en matière d’imagerie et d’intelligence artificielle peuvent nous aider à mieux évaluer l’état de santé de nos forêts… et à en tirer les conséquences pour agir.
La restauration des forêts constitue un élément clé de la lutte contre les perturbations climatiques. Le réseau de recherche mondial, le Tree Diversity Network, tente d’y contribuer efficacement.
Maître de conférences, chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), botaniste systématicien, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne