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Articles on politique étrangère américaine

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Le 6 avril 2022 à Washington, Elaine Luria, vice-présidente démocrate de la commission des questions militaires de la Chambre des représentants, annonce que la commission invite l’administration Biden à ne pas lever les sanctions visant l’Iran avant d’avoir la garantie que ce pays a abandonné son programme nucléaire militaire. Kevin Dietsch/Getty Images via AFP

Pourquoi l’administration Biden peine autant à rendre vie à l’accord sur le nucléaire iranien

Joe Biden avait promis de revenir au « deal » sur le nucléaire iranien dont Donald Trump avait retiré Washington en 2018. Un an et demi après son élection, ce n’est toujours pas le cas.
Les trumpistes attribuent à Vladimir Poutine des qualités similaires à celles de Donald Trump : détermination, virilité, attachement aux valeurs traditionnelles et rejet des « inepties gauchistes »… Kirill Kudryavtsev/AFP

Le poutinisme à toute épreuve de Donald Trump et de ses partisans

Au sein du camp républicain, Donald Trump conserve une influence majeure. Comme durant son mandat, et malgré la guerre en Ukraine, il se montre très compréhensif vis-à-vis de Vladimir Poutine…
Le ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis, Abdullah ben Zayed Al Nahyane, s’est rendu à Moscou le 17 mars, alors que la guerre en Ukraine faisait rage depuis trois semaines, pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov. Evgenia Novozhenina/AFP

Comment la guerre en Ukraine fait bouger les lignes dans le Golfe

L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, alliés de longue date de Washington, ne s’empressent guère de suivre les pays occidentaux dans leur volonté d’isoler la Russie.
Le négociateur en chef du nucléaire iranien, Ali Bagheri Kani, à sa sortie du Palais Coburg (Vienne), où se déroulent les négociations visant à relancer l’accord sur le nucléaire iranien, le 27 décembre 2021. Alex Halada/AFP

Nucléaire iranien : accord en vue ?

Presque quatre ans après la sortie des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, ce texte pourrait entrer de nouveau en vigueur dans les tout prochains jours.
Vladimir Poutine, ici lors de la conférence de presse consécutive à son entrevue avec Emmanuel Macron à Moscou, le 7 février 20222, souligne régulièrement l'humiliation qu'a représentée pour la Russie l'extension vers l'Est de l'OTAN. Thibault Camus/AFP

« Nous avons été humiliés » : le discours du Kremlin sur les années 1990 et la crise russo-ukrainienne

Lorsqu’on analyse la politique étrangère russe d’aujourd’hui, il ne faut pas sous-estimer le poids du traumatisme qu’a constitué, pour Moscou, son éviction de son étranger proche dans les années 1990.
Boris Johnson, le premier ministre britannique, et Scott Morrison, son homologue australien, se saluent à l’occasion de la COP26. Glasgow, le 1er novembre 2021. Christopher Furlong/AFP

Pourquoi AUKUS bénéficie avant tout au Royaume-Uni

Les analyses s’intéressant à l’alliance AUKUS se sont concentrées sur l’Australie et les États-Unis, négligeant le Royaume-Uni, qui pourrait en fait en être le principal bénéficiaire.
Un marin français observant l’horizon sous le nez d’un Rafale durant l’exercice « Gallic Strike » conjoint avec le Royaume-Uni. Toulon, le 3 juin 2021. Christophe Simon/AFP

Ventes d’armes : la France résiste à l’hégémonie américaine

Visant l’hégémonie dans le commerce des armes, les États-Unis utilisent des stratégies très agressives, notamment vis-à-vis du concurrent français.
Pour financer ses équipements militaires de pointe, comme ici ses sous-marins nucléaires d'attaque (SNA), la France a besoin des débouchés que constitue la vente d'armes à l'étranger. Ici, lancement officiel des Suffren, à Cherbourg le 12 juillet 2017. Ludovic Marin/AFP

Sous-marins australiens : le modèle français d’exportation d’armes en question

La rupture par l’Australie du contrat français au profit d’AUKUS témoigne du modèle d’exportation d’armes américain : à l’inverse de la France, les É.-U. ne sont pas dépendants de leurs ventes.
L'emprise du pouvoir chinois lui a permis de faire face à la pandémie, promouvant un modèle à l'opposé des valeurs occidentales. Hector Retamal/AFP

Conversation avec Christophe Gaudin : « Pour la première fois, les démocraties occidentales font face à un modèle autoritaire qui gère une crise mieux qu’elles »

Conversation avec Christophe Gaudin sur les relations entre la Chine et les États-Unis dans le contexte de la crise du Covid-19.
Colin Powell, ici au Pentagone en compagnie du secrétaire d'État à la défense et futur vice-président Dick Cheney en 1989 lors d'une conférence de presse sur l'intervention américaine au Panama, fut à la fois un haut gradé de l'armée multi-décoré et un responsable politique de premier plan au sein de l'administration de George W. Bush. Bob Pearson/AFP

Colin Powell ou la dualité d’un destin américain

Colin Powell, par sa carrière militaire et politique, fut un pionnier pour les Afro-Américains. Mais plus qu’un symbole d’intégration, il était celui de la complexité de l’identité noire américaine.
Le secrétaire à la Défense américain, Lloyd Austin, accueille le premier ministre australien, Scott Morrison, au Pentagone pour discuter du pacte AUKUS, le 22 septembre 2021. Drew Angerer/Getty Images/AFP

AUKUS : la France, grande perdante du duel américano-chinois

Plus que pour des sous-marins nucléaires, l’Australie a fait le choix des États-Unis pour les garanties de sécurité qu’ils lui fournissent. La France et l’Europe vont devoir se repositionner.
Trump/Biden, même combat ? C’est ce que pourraient penser la France et les autres alliés de l’Amérique… Jim Watson, Angela Weiss/AFP

Diplomatie : de quoi l’Amérique de Joe Biden est-elle le nom ?

Le retrait d’Afghanistan et le pacte AUKUS incitent la France et les autres alliés des États-Unis à se demander si la politique étrangère de Joe Biden est vraiment différente de celle de Donald Trump.
Premier producteur mondial d’héroïne et d’opium, l’Afghanistan a fourni 85 % de l’opium mondial en 2020. Wakil Kohsar/AFP

Vingt ans de guerre à l’opium en Afghanistan : retour sur une déroute américaine

Contrairement aux affirmations récurrentes de Washington, ce ne sont pas les talibans, mais les alliés afghans des États-Unis qui ont, depuis vingt ans, été les principaux trafiquants d’opium.
Le 20 décembre 2016, à Canberra, Jean‑Yves Le Drian, alors ministre français de la Défense, signe le « contrat du siècle » avec le premier ministre australien de l’époque Malcolm Turnbull. Brenton Edwards/AFP

Pourquoi la rupture par l’Australie du « contrat du siècle » était prévisible

Pour l’Australie, le dilemme était simple : se conduire en nation souveraine et respecter le contrat passé avec la France, ou privilégier sa sécurité et son lien de longue date avec Washington.
L’ambassadeur de France en Afghanistan, David Martinon (à gauche), attend avec des ressortissants français et afghans de monter à bord d’un avion de transport militaire français à l’aéroport de Kaboul, le 17 août 2021, pour être évacué du pays après la victoire éclair des talibans. AFP

Leçons afghanes pour la France et pour le monde

Le fiasco afghan des États-Unis semble signer la fin de l’époque des interventions extérieures coûteuses sur des théâtres lointains.

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