Depuis plus d’un siècle, Grenoble INP poursuit ce qui fut sa vocation initiale : former des ingénieurs. À cette mission première, d’autres se sont agrégées rapidement : la recherche scientifique et technologique, la formation doctorale, la formation continue, l’accompagnement au développement industriel. Grand établissement de statut public, le groupe Grenoble INP compte plus de 5500 étudiants et 1300 personnels enseignants-chercheurs, administratifs et techniques. Avec une offre de formation d'ingénieurs centrée sur des filières métiers, 36 grands laboratoires et une offre de services de recherche et développement renommés dans la communauté scientifique et industrielle mondiale.
Un phénomène universel où l’on associe le nom et la forme d’un objet, « l’effet bouba-kiki » n’est pas lié à la langue, mais plutôt à la physique des objets.
Une turbine Francis, typiquement utilisée dans les centrales hydroélectriques.
Dejan Dosenovic, Shutterstock
Julien Hofmann, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Les pales des turbines hydroélectriques sont sujettes à des dommages, notamment liés à la cavitation. Comment les étudier ?
L’Ademe a élaboré un nouveau label pour les offres d’énergie verte, qui fait le tri entre les offres existantes en différenciant deux niveaux d'exigence pour les citoyens qui souhaitent traduire leur engagement écologique dans leur acte de consommation.
Pascal Guyot / AFP
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Les offres vertes d’électricité ne garantissent pas une contribution à la création de nouvelles installations renouvelables. Un nouveau label de l’Ademe relance le débat.
L'impératif de distanciation suppose notamment la recherche de solutions ad hoc.
Jean-François Monier / AFP
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Les tensions entre exigences de sécurité et maintien du travail sont aujourd’hui directement gérées, dans l’urgence, au sein des organisations. Une situation inédite.
En 2014 à Grenoble, une des agglomérations françaises régulièrement touchées par des pics de pollution.
Jean-Pierre Clatot/AFP
Pour décrypter le débat actuel sur la consigne, il faut revenir au cadre dans lequel s’inscrit la politique des déchets en France, conduite avec les collectivités et les acteurs du recyclage.
Le 1er juin dernier, le prix de l'électricité a augmenté de 6 %.
Shutterstock
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
La dernière augmentation du prix de l’électricité suscite la polémique. Pour mieux saisir les variables de l’évolution de ces prix, il faut comprendre comment s’est libéralisé le marché.
Zélie Tournoud, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Et si un défaut accouchait d’une immense qualité : c’est le cas des ailes d’avions. A base d’aluminium, elles se plieraient sans de petits défauts dans leur structure.
En 2015, à la centrale de Saint-Laurent-des-Eaux lors d’un contrôle décennal.
Guillaume Souvant/AFP
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP) and Frédéric Marty, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Le débat public ouvert jusqu’au 30 juin 2018 sur la politique énergétique française pour les prochaines années est l’occasion d’interroger le prolongement des centrales nucléaires et son coût.
En signant des contrats « toxiques », les banques s’approprient des revenus générés par l’économie réelle. Analyse d'un contrat « toxique » signé par une municipalité iséroise en 2007.
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP)
Si l’abandon au 1er janvier des tarifs réglementés pour les entreprises et les collectivités semble favorable, un décryptage minutieux montre qu’il n’en est rien.