Montpellier SupAgro est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) placé sous la tutelle conjointe du ministre chargé de l’Agriculture et du ministre chargé de l’Enseignement supérieur.
Ses enseignants-chercheurs sont présents dans 21 unités mixtes de recherche et 3 unités mixtes technologiques. L’établissement est impliqué avec ses partenaires universitaires et scientifiques dans la création de quatre Laboratoires d’excellence en Languedoc-Roussillon, en particulier le Labex Agro, labellisés par l’État dans le cadre du programme « Investissements d’avenir ».
Il dispose de trois domaines agricoles expérimentaux dédiés à la R&D, l’enseignement et le développement des relations avec les partenaires professionnels. L’établissement développe des activités de transfert de technologies, de valorisation des connaissances issues de la recherche, d’appui à l’innovation et à la création d’entreprises, de diffusion de la culture scientifique et technique.
Les évolutions règlementaires visant à réduire les emballages imposent aux enseignes des nouveaux défis en termes d'aménagement des points de vente ou encore de communication sur les produits.
Un bateau transporte des grumes sur un radeau le long de la rivière Murutipucu dans la municipalité d’Igarape-Miri, dans la région de Baixo Tocantins, au nord-est de Para, au Brésil, le 18 septembre 2020.
Tarso Sarraf / AFP
Le confinement a transformé notre consommation, notamment alimentaire, de façon plus ou moins vertueuse. Tout l’enjeu est désormais de pérenniser les bonnes habitudes et de rejeter les mauvaises.
Trois types de concombre de mer (holothuries) ont été inscrites comme espèces menacées d'extinction.
kevskoot/Pixabay
Sans garde-fou, c’est à une exploitation de type minière jusqu’à épuisement total du stock qu’est soumis le concombre de mer à Saint-Pierre et Miquelon.
Un fermier sénégalais travaille dans un champs de melon près de Djilakh, à 80 km au sud de Dakar.
Georges Gobet/AFP
Les maladies d’origine alimentaire touchent plus du tiers de la population mondiale. Si les pays de la Francophonie sont un peu en déca du taux de mortalité moyen, leur situation reste préoccupante.
La juste rémunération des agriculteurs, l’une des nombreuses questions abordées par les États généraux de l’alimentation.
Iroz Gaizka/AFP
Lancée en juillet 2017, cette vaste consultation avait pour objectif de penser l’avenir de l’agriculture et de l’alimentation. Mais le résultat n’est pas à la hauteur des attentes suscitées.