Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Lynda Hubert Ta, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Nessan Akemakou, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La COP15 peut être considérée comme un succès avec l’adoption d’un cadre qui vise notamment à protéger au moins 30 % des zones terrestres, côtières et marines d’ici 2030.
Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Le récent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), rendu public le 28 février dernier, fait état de conclusions alarmantes liées aux changements climatiques.
Dans un contexte où l’environnement représente une préoccupation du grand public, il est primordial de comprendre les avantages, limites et inconvénients de la normalisation en matière de durabilité.
De nouveaux travaux de recherche éclairent sur la meilleure façon de mobiliser l’investissement public privilégier pour servir au mieux les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique.
La conférence de Glasgow de novembre 2021 nous a donné à voir comment s’articulent les discours politiques, médiatiques et scientifiques autour de la question du changement climatique.
Les avancées et les limites de la récente COP26 soulignent la nécessité de faire évoluer les conférences internationales sur le climat. Pas de les supprimer.
La COP26 a été l’occasion d’avancées et d’annonces, mais les engagements des États – en plus de devoir passer l’épreuve de leur mise en œuvre – sont largement en deçà de ce qu’exige la science.
Géo-ingénierie de capture et de stockage du carbone, réhabilitation des écosystèmes, hausse progressive du prix du carbone… Les leviers d’actions existent pour éviter la décroissance.
Évaluation des efforts climatiques des pays, sortie des énergies fossiles, décision sur le méthane, retour du dialogue Chine-US, poids de la société civile… La COP26 résumée en ses points essentiels.
Entre 2008 et 2017, le sondeur IASI a relevé les empreintes des gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Des informations essentielles pour évaluer les actions de lutte contre le réchauffement.
Au-delà du PIB et des émissions de gaz à effet de serre, il faut recourir à des systèmes de mesure plus complexes pour apprécier la réalité des performances environnementales des États.
Mettre fin à la déforestation présente un grand potentiel, mais le Canada a du pain sur la planche s’il veut atteindre ce nouvel objectif et faire cesser la perte continue de forêts et de carbone.
Une étude menée auprès de 1 300 citoyens, français, marocains et étasuniens, révèle que les Français sont moins réceptifs envers les actions de leur pays en faveur du climat.
Jusqu’à présent, les engagements à respecter l’Accord de Paris sur le climat n’ont pas été suivis d’effets dans plusieurs grands établissements bancaires.
Il est urgent d'engager la transition énergétique, sans se résoudre au fatalisme ni attendre une solution miracle. Les technologies pour une sobriété acceptable, sans régression, sont disponibles.
Un regard rétrospectif et décloisonné sur la « découverte » des dérèglements climatiques souligne les liens entre choix énergétiques et technologiques et enjeux sociaux, économiques et politiques.
H. Damon Matthews, Concordia University and Glen Peters, Center for International Climate and Environment Research - Oslo
L’horloge suit les émissions mondiales et les données relatives aux températures, et utilise la tendance des émissions récentes pour estimer le temps qu’il reste avant que un réchauffement de 1,5 °C.
Après une forte baisse des émissions en 2020 due à la pandémie de Covid-19, 2021 témoigne d’une inquiétante reprise, souligne la nouvelle étude du Global Carbon Projet.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa