Nos habitudes alimentaires doivent s’adapter aux réalités environnementales et démographiques. Mais mettre de côté notre héritage alimentaire constitue une grave erreur.
Si l’impact de la viande sur le réchauffement climatique est souvent remis en cause, réduire notre consommation est pourtant essentiel à la baisse des émissions de gaz à effet de serre.
Dans la société médiévale, les animaux étaient étroitement associés à la vie quotidienne des humains ; on leur prêtait vices et vertus, et même une raison sensible.
Avec le succès grandissant du régime végétarien, l’industrie de la viande est sur la défensive. La « saucisse végétarienne » est désormais dans la ligne de mire !
Sommes nous réellement supérieurs biologiquement aux autres espèces vivantes ? Et que signifie, d’un point de vue éthique, manger des plantes plutôt que des animaux ?
Un macaron coco citron au chutney d’algues rouges, ça vous dirait ? C’est bon au goût, et bon pour la santé. Pourquoi, comment et où manger des algues.
Se passer de viande, voire de tout produit issu d'un animal, est une tendance forte actuellement. Que dit la science à propos de ces nouveaux régimes ?
Où l’on découvre que dans la grande chaîne alimentaire qui lie toutes les formes de vie, les végétariens consomment aussi de la viande… Mais viande ou pas viande, telle n’est pas la question !
Consommer de la viande rime avec émissions de gaz à effet de serre. Mais les émissions provenant de cultures ont été largement sous-estimées, révèle une nouvelle étude sur la qualité des sols.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)