L'animalisation reste une forme malveillante de déshumanisation. La simianisation est une version de cette stratégie, qui a historiquement manifesté une combinaison de sexisme et de racisme.
Lorsque votre chat est sur vos genoux et qu’il fait du pain, c’est une façon de dire « nous sommes liés » ou « tu fais partie de mon groupe social ». Ou, pour une vision plus humaine, « tu es mon pote ».
(Shutterstock)
Le pétrissage est un comportement typique du chaton. Mais il peut se poursuivre à l’âge adulte, car il peut servir à communiquer des messages.
Deux ruches photographiées à l'aide d'une caméra thermique en décembre: la chaleur révélant la présence des abeilles — et leur survie — apparaît en jaune et blanc, contre l'environnement plus froid en violet et bleu.
Éric Darrouzet, Université de Tours
Pour mieux détecter leur nourriture et leurs prédateurs dans le crépuscule arctique, les yeux des rennes changent au fil des saisons. Une découverte qui pourrait avoir des applications technologiques.
La première description du clitoris des serpents pourrait changer ce que nous pensons savoir sur l’accouplement et la parade nuptiale chez les reptiles rampants.
Quatre cerfs du père David (Elaphurus davidianus), également connus sous le nom de milus, dans une zone humide près de la réserve naturelle nationale de Dafeng dans la province de Jiangsu, en Chine.
He Jinghua/VCG via Getty Images
La Chine possède de riches ressources naturelles et cherche à jouer un rôle de premier plan dans la conservation mondiale. Mais ses objectifs économiques passent souvent avant la protection de la nature.
Dans les élevages où sont utilisés des antibiotiques, la proximité des professionnels avec les animaux peut favoriser la transmission à l’être humain de bactéries résistantes.
Philippe DESMAZES / AFP
Jean-Yves Madec, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) and Florent Parmentier, Sciences Po
Utilisés en médecine humaine, les antibiotiques sont aussi administrés aux animaux d’élevage. Avec parfois des mésusages favorisant l’émergence de bactéries résistantes transmissibles à l’être humain.
Visite de l’univers Uniqlo sur Animal Crossing par l’avatar de l’auteur arborant un haut The Conversation.
Le jeu vidéo à succès offre une vitrine pour des placements de produit d’un nouveau genre.
En apprenant à d’autres espèces animales à distinguer les nombres pairs et impairs et à effectuer d’autres opérations mathématiques abstraites, nous pouvons en apprendre davantage sur la façon dont les mathématiques et la pensée abstraite sont apparues chez les humains.
(Shutterstock)
Avec leur cerveau miniature de 960 000 neurones (contre 86 milliards chez l’homme), les abeilles ont réussi à comprendre les concepts d’impairs et de pairs.
Lamas meneurs d’une caravane (localement appelé delanteros).
Nicolas Goepfert
Seuls grands vertébrés domestiqués il y a plus de 4 000 ans dans les Amériques, ils représentent un véritable défi pour les chercheurs travaillant dans cette aire culturelle.
Les gardiennes de nids de frelons asiatiques savent filtrer les entrées.
Pittou2, Flickr
Connaissez-vous la zoopharmacognosie ? Certains animaux utilisent des arbres pour se soigner.
Les poules élevées en cage représentaient en 2020 36 % de la production française, contre 47 % en 2019, selon l’Interprofession des oeufs.
Shutterstock
Le bien-être n’est pas un concept théorique désincarné. Il doit être appréhendé comme une réalité vécue par des êtres vivants sensibles et conscients dans leur relation à leur milieu de vie.
La méduse immortelle «Turritopsis dohrnii».
(Daniel Maeso Miguel)
La méduse immortelle « Turritopsis dohrnii » est capable d’échapper à la mort. Les mécanismes moléculaires impliqués dans sa longévité ont été révélés par des chercheurs de l’Université d’Oviedo.
Venu de l'animal, le SARS-CoV-2 a fait de l'humain son hôte privilégié. Les animaux, même contaminés, sont peu à risque.
Po_Po / Shutterstock
Alexis Lécu, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Venu de l’animal, le virus du Covid est aujourd’hui bien installé chez l’Homme. À quel point les espèces qui nous entourent sont-elles vulnérables ? Et quel risque entoure les échanges entre espèces ?
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directrice de la DRED (Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales) Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières