Incendie du marché d'Amdurman (Khartoum) probablement dû à la guerre entre l'armée soudanaise et les Forces de Soutien Rapide.
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Quatre ans après la chute du dictateur el-Béchir, le Soudan est déchiré par un conflit violent entre militaires. Ce conflit ne pourra être réglé qu’avec la participation des forces démocratiques.
Le commandant des Forces de soutien rapide du Soudan, le général Mohamed Hamdan Dagolo, dit Hemedti.
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Hemedti a su utiliser son sens des affaires et ses prouesses militaires pour faire de sa milice une force plus puissante que l’État soudanais en déclin.
L'ancien président soudanais Omar Al-Bachir à Nyala en 2017, dans la province, du Darfour, région où il est accusé d'être impliqué pour génocide et crimes de guerre par la CPI.
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La remise à la CPI de l’ancien dirigeant soudanais Omar al-Bashir pose la question d'une collaboration avec le régime actuel, dirigé par des officiers impliqués dans des génocides passés et meurtres récents de manifestants.
Un garçon soudanais brandit le drapeau national après que le président Omar el-Béchir a été démis. Khartoum, la capitale du Soudan, le 12 avril 2019.
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Désormais incarcéré, le président soudanais Omar Al-Bachir avait réussi à surmonter une série de crises au prix du verrouillage du pays. De nombreux défis attendent ses successeurs.
Le président soudanais Omar al-Béchir a été assigné à résidence après trois décennies au pouvoir.
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Les manifestants soudanais contre le régime d'Al-Béchir ont remporté une victoire importante. Mais il reste encore un long chemin à parcourir avant que la démocratie ne soit rétablie.
Senior Research Fellow, Norwegian Institute of International Affairs and Visiting Professor University of Buckingham, Norwegian Institute of International Affairs