Que se passe-t-il quand le monde auditif se fragmente de « saison en saison » ? Récit d’un voyage au pays du silence.
Les êtres humains peuvent repérer à l'oreille les variations du vivant, qu'il s'agisse du vent ou de la tombée de la nuit, comme le montre un nouveau programme de recherche.
Khamkeo Vilaysing/Unsplash
Premiers résultats d’un nouveau programme de recherche en sciences cognitives dédié à l’étude de nos capacités de perception des paysages sonores naturels.
Entendez-vous le doux clapotis des gouttes de pluie ?
Luca Bravo/Unsplash
Grâce à des pièges photographiques et à la surveillance acoustique passive, les chercheurs ont pu capturer les mouvements de 152 espèces avec une richesse de détails époustouflante.
Des riders s'affrontent lors de la coupe de France de jetski à Ajaccio le 21 septembre 2019 en Corse.
Pascal Pochard-Casabianca / AFP
Les littoraux sont particulièrement touchés par cette pollution sonore anthropique qui affecte la faune marine, pour qui l’usage du son remplit des fonctions essentielles.
Un troglodyte mignon en pleine discussion.
Aurelien Audevard