Du jamais-vu : l’équivalent de 18 mois de précipitations en une seule journée. Il faut davantage y voir la marque du changement climatique que celle d’une modification volontaire de la météo.
La réforme des institutions, dont le premier volet est présenté ce 9 mai en conseil des ministres, témoigne d’une ambition nettement revue à la baisse notamment en matière d’environnement.
Depuis 2013, le taux de CO₂ présent dans l’atmosphère a atteint 400 ppm et ne cesse d’augmenter. Mais pour contenir le réchauffement climatique, il va falloir repasser sous le seuil de 350 ppm.