La tenue de l’Eurovision en Suède est l’occasion de revenir sur la façon dont, depuis sa création en 1956, le concours reflète l’étroitesse des liens entre le pays hôte et la Finlande voisine.
L’adhésion de l’Autriche, de la Finlande et de la Suède en 1995 s’explique en bonne partie par l’effondrement du bloc soviétique quelques années plus tôt.
Les relations entre Pékin, Moscou, Téhéran et Pyongyang ne cessent de se renforcer. Les quatre régimes partagent bien des points communs, en politique intérieure comme extérieure.
Dans les années 1980, la CEE ouvre ses portes à trois pays récemment sortis de la dictature : d’abord à la Grèce puis, après des négociations compliquées, à l’Espagne et au Portugal.
La situation actuelle rappelle à bien des égards la guerre froide, mais il est dangereux de s’en tenir à ce parallèle, car les risques de conflit ouvert sont aujourd’hui nettement plus élevés.
Pendant ses seize premières années, la CEE a compté six membres : la France, la RFA, l’Italie et les trois pays du Bénélux. En 1973, elle est rejointe par le Royaume-Uni, l’Irlande et le Danemark.
La France a reconnu la RPC il y a 60 ans. Par la suite, et spécialement ces dernières années, Paris a cherché à combiner, dans son rapport à Pékin, défiance sécuritaire et proximité commerciale.
Retour sur la genèse et l’impact, en URSS et en Occident, de l’un des livres les plus importants du XXᵉ siècle, publié à Paris il y a exactement 50 ans.
Henry Kissinger a profondément influencé la politique étrangère des États-Unis. Il a notamment soutenu sans états d’âme des dictateurs étrangers, y compris des auteurs de crimes de masse.
Dans la culture américaine, la fascination pour l’homme à l’origine de la bombe semble souvent éclipser l’horrible réalité des armes nucléaires elles-mêmes.
En 1991, Jean-Christophe Rufin annonçait que le Nord allait tout faire pour se fermer aux migrants cherchant à le rejoindre depuis les pays du Sud. Une prophétie que les faits n’ont pas démentie.
Durant la guerre froide, plus d’une centaine de pays en développement affichaient leur « non-alignement » vis-à-vis des grandes puissances. Cette notion a de nouveau le vent en poupe aujourd’hui.
Enlevé, puis assassiné par les Brigades rouges en 1978, l’ancien chef du gouvernement italien Aldo Moro est au centre de l’intrigue de la série « Esterno Notte » sur Arte.
Les radios d’État internationales (RFI, BBC, Voice of America, etc.) ne détiennent plus le monopole sur les radios dites « de mobilisation ». Tour d’horizon d’un paysage médiatique riche et varié.
La Russie et la Chine coopèrent étroitement et s’opposent souvent ensemble à l’Occident. Ces deux puissances ne constituent pas, pour autant, un bloc soudé face aux États-Unis et à l’UE.
Alors que les points de tension se multiplient entre Pékin et Washington, la transition vers un leadership chinois passera-t-elle forcément par un affrontement militaire avec les États-Unis ?
Du Grand jeu du XIXᵉ siècle aux ingérences américaines tout au long du XXᵉ et jusqu’au retrait de Donad Trump de l’accord sur le nucléaire en 2015, l’Iran s’est souvent senti dupé par les Occidentaux.
Mikhaïl Gorbatchev, récemment disparu, ne s’était pas opposé à la chute du Mur de Berlin. Avec Vladimir Poutine, un nouveau rideau de fer s’est abattu sur l’Europe.
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2
Docteure en relations internationales, maitresse de conférences en science politique à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), chercheure associée au Collège de France, chercheure associée au centre Thucydide, Université Paris-Panthéon-Assas
Secrétaire de la section « Sciences, histoire des sciences et techniques et archéologie industrielle » du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS), École Nationale des Chartes
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po