Effets spéciaux spectaculaires, esthétique cinématographique, complexité narrative, mode de diffusion événementiel… « Game of Thrones » possède tous les ingrédients du succès.
A quelques semaines des élections européennes, il est tout à la fois plaisant et stimulant de voir ou de revoir les deux saisons de la série « Occupied ».
Le contexte d’éclatement de l’offre encourage le consommateur à se tourner vers le piratage des contenus auxquels il n’a pas accès. Des solutions existent pour contenir le phénomène.
Lutte contre le danger venu du froid pour eux, venant du chaud pour nous. Entre la série et notre réalité, les enjeux se croisent : ouvrir ou fermer les yeux, s’unir ou non, agir ou retarder l’action.
Le consommateur risque fort d’être le grand perdant de la multiplication des plates-formes et des services qui proposent tous un nombre croissant de contenus exclusifs.
Angela Sutan, Burgundy School of Business et Ludivine Martin, Luxemburg Institute of Socio-Economic Research (LISER)
La recherche démontre que ce sont généralement les comportements des individus les moins compétents qui contribuent le plus à l’instauration d’un climat délétère au sein d’une équipe.
« Game of Thrones » n’est pas du tout une reconstitution historique du passé, mais suscite pourtant un très vif intérêt de la part des historiennes et des historiens.
Bien que l’univers de « Game of Thrones » baigne dans une ambiance médiévale, plusieurs grandes figures de la série semblent directement inspirées de personnages de l’Antiquité romaine.
C'est dans la boîte N.6 : Netflix
TC France, CC BY12,8 Mo(download)
La plate-forme de streaming est contrainte d’investir toujours plus pour conserver sa position face à une concurrence qui se renforce, ce qu’elle peut se permettre aujourd’hui sans trop de difficultés.
En quelques séries, Netflix devient le porte-parole des féministes, des Afro-Américains, des hyper séniors, des LGBTQ, mais aussi, dans une moindre mesure, de l’écologie…
La recherche sur les séries télévisées s’accorde à définir une augmentation de la complexité narrative des séries que l'on peut observer dès les années 1980, notamment aux États-Unis.
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les États-Unis débutent la deuxième saison d'une série télévisée marquée par les codes de la téléréalité, qui, a accompagné son ascension vers le pouvoir suprême.
Aux yeux de nombre d’étudiants, l’économie est une matière abstraite. Et si des références à la fiction levaient les blocages ? C’est une approche conseillée par des spécialistes de la pédagogie.
En changeant d’univers et de personnages chaque saison, la série anthologique de la chaîne FX traite différentes formes de peur au prisme des genres horrifiques.
Lorsqu’un personnage de série meurt, le téléspectateur peut éprouver de la peine pour lui ou pour ses proches ; il déplore aussi son absence à l’écran.
Face à l’américanisation du droit, défendre l’identité juridique française, comme l’on défend son exception culturelle, serait devenue une nécessité ? Pas de panique.
Les séries sont devenues un véritable genre narratif à part entière entre feuilleton, cinéma et télévision, avec des moyens de plus en plus importants… et des festivals.
En rachetant la Fox, la Walt Disney Company va réaliser sa plus importante acquisition. Un coup de maître qui marie objectifs offensifs et défensifs dans un univers incertain. Décryptage.
Maître de conférences, chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), botaniste systématicien, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)