Elsa Marie, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En août, un communiqué d’Amnesty International a été interprété comme la mise sur le même plan des militaires ukrainiens et des agresseurs russes. Décryptage.
En 2018, 70 % des évangéliques avaient voté pour Jair Bolsonaro. Cette fois, cet électorat lui semble moins acquis, ce qui devrait assurer la victoire de Lula au second tour.
Benjamin Sultan, Institut de recherche pour le développement (IRD); Christine Raimond, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et Gilles Boulet, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le lien entre réchauffement climatique et sécheresse existe, mais il est complexe à établir. Le réchauffement global de la planète peut en effet se manifester différemment en fonction des régions.
En évoquant un « endoctrinement des enfants » sur la question du genre dans son discours du 30 septembre, le président russe Vladimir Poutine envenime un débat qui fragilise les sociétés occidentales.
Donald Trump continue certes de peser sur la vie du Parti républicain, mais il n’a pas influencé les primaires du parti autant qu’il le prétend, loin de là.
Le changement climatique apparaît comme un facteur aggravant des conflits dans les zones les plus touchées. Une étude de l'université de Stanford confirme cette impression.
Le propre de la République islamique depuis son instauration en 1979 est l’utilisation à la fois de l’appareil d’un État moderne et de l’idéologie religieuse pour contrôler les femmes.
Frédéric Zalewski, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’ambitieux programme de réarmement de la Pologne illustre la vision géopolitique du parti au pouvoir, qui fait la part belle à Washington, Londres et même Séoul au détriment des pays de l’UE.
Jules Sergei Fediunin, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Putin’s annexation speech was heavy on ultranationalist references. Understanding Russia’s far right figureheads and what they stand for is now essential for deciphering the Kremlin’s war strategy.
Ensemble, les trois principaux partis de gauche et du centre ont obtenu plus de voix que la droite victorieuse aux législatives. Peuvent-ils s’entendre en vue des prochaines échéances ?
Depuis quelques années, les polémiques se succèdent au sujet de féministes et d’antiracistes qui imposeraient la terreur sur les campus. Analyse de cette rhétorique catastrophiste.
Le Kirghizstan et le Tadjikistan partagent 972 km de frontières, dont une partie reste non délimitée, ce qui cause des conflits récurrents, comme celui qui vient de provoquer une centaine de morts.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La commission sur l’insurrection du 6 janvier va bientôt reprendre ses auditions et devrait publier un rapport mi-octobre. Quel impact aura-t-il sur les élections de novembre ?
L’annexion de quatre régions ukrainiennes n’est pour la Russie qu’une victoire en trompe-l’œil. Le maximalisme de Vladimir Poutine aura un coût stratégique autrement plus élevé.
Durant son mandat, Jair Bolsonaro n’a cessé de diffuser un discours populiste ancré dans une sorte de « post-vérité », notamment sur le dossier de l’Amazonie.
Jules Sergei Fediunin, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Il existe en Russie un courant de droite nationaliste, très hétérogène, qui estime que le Kremlin se montre trop mou vis-à-vis de l’Ukraine et milite pour une « guerre totale ».
Giorgia Meloni souhaite un « blocus naval » pour empêcher les migrants venant de Libye de rejoindre l’Italie. Une option que même son allié Matteo Salvini ne partage pas.
À rebours d’un système compétitif ayant pour principale boussole le classement de Shanghai, des projets européens s’efforcent de penser un modèle d’excellence scientifique inclusif.
Les menaces proférées par Vladimir Poutine, ce 21 septembre, ne doivent pas être balayées d’un revers de la main. Aux yeux du Kremlin, l’emploi de l’arme nucléaire en premier n’est pas tabou.
L’espace est-il « neutre » ? Les opérations spatiales sont-elles uniquement dictées par la convoitise des États et des acteurs privés… et jusqu’où cette course peut-elle aller ?
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
La Russie est sur le recul en Asie, tandis que la Chine monte en puissance. Le sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai qui vient de se tenir en Ouzbékistan l’a encore confirmé.