Québec prépare une réforme de la gouvernance des projets publics, dont celle des transports collectifs. Une agence centralisée et indépendante est-elle la meilleure solution ?
Si l’aéroport de Roissy a été construit dans une relative discrétion, son inauguration, il y a cinquante ans, a fait grand bruit et soulève des questions qui alimentent encore les débats aujourd’hui.
Même avec des taux de croissance modestes, l’aéroport Montréal-Trudeau risque d’atteindre sa pleine capacité d’ici 2047. Comment en est-on arrivé là ? En raison d’un ensemble de mauvaises décisions.
Selon une étude de l'EDHEC, certains investisseurs pourraient voir la valeur de leur portefeuille fondre de 50% d'ici 2050 en raison de la mulitplication des phénomènes météorologiques extrêmes.
Un nouveau système d’évaluation améliore la durabilité et la résilience des infrastructures au moyen d’indicateurs standardisés. Il permet de réaliser les bons projets, de la bonne manière.
Les indicateurs de santé et d’environnement permettent d’envisager des évolutions pour le « périf » qui transparaissent aujourd’hui dans les projets en cours.
Il faut arrêter de glorifier les grands projets et de vouloir en réaliser à tout prix, mais privilégier la sobriété et la décroissance, afin de diminuer notre consommation énergétique.
La politique chinoise d'infrastructures contre concessions pourrait être un moyen de récolter encore plus d'avantages qui ont été obtenus pendant l'époque coloniale
La construction d’infrastructures routières, notamment dans les pays en voie de développement, a des conséquences dramatiques sur les grands prédateurs.
Luc Arrondel, Paris School of Economics – École d'économie de Paris dan Richard Duhautois, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
« L’hypermodernité » du ballon rond se caractérise par de fortes inégalités, des profils inédits d’investisseurs, les stratégies de mondialisation des grands clubs et l’arrivée de nouveaux diffuseurs.
Jacob Stolle, Institut national de la recherche scientifique (INRS) dan Damien Pham-Van-Bang, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Les côtes du Saint-Laurent, qui ont une importance économique, sociétale et culturelle considérable, s’érodent. L’adaptation des gouvernements et des communautés locales est nécessaire et inévitable.
Les grands projets structurants ont des impacts importants sur la société actuelle et les générations futures. Une réelle gouvernance participative et inclusive devrait être adoptée pour les gérer.
Les nouvelles réalités virtuelles changent la façon dont nous interagissons avec nos espaces urbains. Comment le métavers rendra-t-il certains aménagements urbains redondants et d’autres indispensables ?
Brian Padilla, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Fanny Guillet, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), dan Salomée Gelot, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Le plan Zero Artificialisation Nette vise à renaturaliser un espace pour chaque espace artificialisé. Mais la détermination artificiel ou non-artificiel fait encore débat.
Rui Esteves, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Un ouvrage récemment publié propose une analyse historique des emprunts souverains qui remet en perspective leur impact positif sur le développement économique.
Les investissements prévus pour les infrastructures devraient gonfler le montant des dépenses irrégulières – d’autant que le législateur n’a pas fait de la lutte contre le phénomène une priorité.
Professeur émérite en économie, Université Sorbonne Nouvelle 3, Co-anmateur du séminaire BRICs: Brésil-Russie-Inde-Chine : Approche comparative et l'avenir de l'économie mondiale, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)