Pape Sakho, Université Cheikh Anta Diop de Dakar; Gaele Lesteven, École nationale des travaux publics de l'État; Momar Diongue, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, and Pascal Pochet, École nationale des travaux publics de l'État
L'extension urbaine en Afrique subsaharienne s'accompagne d'un besoin croissant de déplacements quotidiens.
Pape Sakho, Université Cheikh Anta Diop de Dakar; Gaele Lesteven, École nationale des travaux publics de l'État; Momar Diongue, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, and Pascal Pochet, École nationale des travaux publics de l'État
Urban expansion in Sub-Saharan Africa and the need for daily mobility
Le recours à la justice contre les erreurs médicales est un couteau à double tranchant. Il satisfait les familles éplorées, mais installe un malaise dans le système de santé.
As a language of instruction, French has long held a prominent place in Senegal’s institutions and media. But Wolof, the most spoken national language, has regained its lost places.
Langue d’enseignement, le français a occupé une grande place dans les institutions, les médias et les salons huppés pendant longtemps au Sénégal. Le wolof a reconquis les places perdues.
Quelques données, faits et témoignages sur l’original et dense concours d’agrégation organisé à Cotonou en novembre 2021 par le Conseil africain et malgache pour l’Enseignement Supérieur.
Depuis plusieurs décennies, cet espace est en proie à un déséquilibre anthropo-écologique, auquel s’ajoute les changements climatiques amorcés depuis le début des années 1970.
Valery Ridde, Institut de recherche pour le développement (IRD); Adama Faye, Institut de santé et développement; Amadou Ibra Diallo, Institut de santé et développement; Emmanuel Bonnet, Institut de recherche pour le développement (IRD); Ibrahima Gaye, Institut de santé et développement; Jean Augustin Diégane Tine, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, and Mouhamadou Faly Ba, Institut de Recherche en Santé, de Surveillance Epidémiologique et Formation (IRESSEF)
Un sondage d’opinion révèle pour la première fois la perception qu’a la population sénégalaise des mesures prises par le gouvernement pour lutter contre la Covid-19.
Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL; Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, and Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le moratoire sur les intérêts de la dette accordé par les organismes internationaux leur confère un rôle de « donneurs en dernier ressort » qui facilite le remboursement des créanciers privés.
Plafonnement des capacités diagnostiques, faible proportion de tests, saturation des services extra-hospitaliers… Autant de raisons limitant la représentativité des chiffres officiels pour l’Afrique.
Albert Gautier Ndione, Institut de recherche pour le développement (IRD); Alice Desclaux, Institut de recherche pour le développement (IRD); Idrissa Bâ, Université Cheikh Anta Diop de Dakar; Khoudia Sow, Institut de recherche pour le développement (IRD); Mbissane Ngom, Université Gaston Berger, and Mouhamet Diop, Université Assane Seck de Ziguinchor
L’emprisonnement expose sur le plan sanitaire des personnes déjà rendues vulnérables par la consommation de drogues. La pandémie risque d’aggraver davantage la situation.
La reprise des activités au Sénégal et dans beaucoup de pays africains rend encore plus urgente la modernisation du secteur informel pour créer les conditions d’une relance « post-Covid-19 ».
Une bonne partie de la dette des pays africains est due à des créanciers privés. Ce qui complique tout consensus sur son éventuelle restructuration pour lutter efficacement contre le Covid-19.
La crise économique impose des choix difficiles à la plupart des pays. Les pays d’Afrique de l’Ouest doivent trouver l’équilibre qui permettra d’éviter une asphyxie de l’économie informelle.
Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD); Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, and Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL
La prépondérance des créanciers privés dans la dette publique extérieure pèse sur le budget des États africains et complique la lutte contre le Covid-19.
La pandémie de Covid-19 donne lieu à de nombreuses rumeurs et les mesures recommandées par les autorités ne sont pas toujours respectées, du fait d’une communication perfectible.