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Université de Montpellier

Située dans le Sud de la France près de la mer Méditerranée, l’Université de Montpellier comprend plus de 50 000 étudiants et 4 800 personnels répartis dans ses 17 UFR, écoles et instituts.

Elle rassemble une vaste palette de disciplines : sciences et techniques, droit, économie, environnement, administration, gestion, médecine, pharmacie, activités physiques et sportives, biologie, informatique, sciences de l’éducation, science politique… Pluridisciplinaire, l’UM est aussi multisites : elle s’étend sur plusieurs campus et même sur diverses villes de la région, Montpellier mais aussi Béziers, Nîmes, Sète, Mende, Carcassonne et Perpignan.

Université de recherche intensive, l’Université de Montpellier intègre 73 structures de recherche réparties dans 9 départements scientifiques et 5 pôles de recherche. Elle porte un programme d'excellence I-SITE avec 15 partenaires autour des enjeux de société : nourrir, protéger, soigner.

Elle est classée dans le top 200 du classement général de Shanghai et se hisse sur le podium mondial en écologie avec une 3ème place à son classement thématique.

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Carole Delga, l'une des rares femmes qui dirigera une région à l'issue du scrutin de décembre. Pascal Guyot/AFP

Un Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées pas si rose…

Si la grande région reste à gauche, cette victoire masque de fortes disparités : le PS et ses alliés l’emportent certes en Midi-Pyrénées, mais le FN est arrivé en tête en Languedoc-Roussillon.
Les partisans du Front national célèbrent leur victoire le 6 décembre au Pontet (Vaucluse) Boris Horvat / AFP

Régionales 2015 : sept situations très contrastées

Arrivé en tête dans 6 régions sur 13, le Front national est en mesure de l'emporter dans au moins deux d'entre elles. C'est bien lui qui apparaît comme le grand gagnant de ce premier tour.
Meeting du FN, le 1er mai 2012. Blandine Le Cain/Flickr

Le Front national : une offre politique autonome ?

Pour exister sur le marché politique, il faut occuper un créneau bien identifié des électeurs. C’est ce qu’a bien compris le FN avec son programme de souverainisme intégral, évolutif.
Un moment de détente pour les têtes de liste (de gauche à droite): Dominique Reynié (LR), Gerard Onesta (EELV-FG), Carole Delga (PS-PRG) et Philippe Saurel (DVG) Pascal Pavani / AFP

Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées : ça ne change rien, ça change tout ?

Dans cette vaste région restée sans logo et sans nom, la campagne a été happée par les enjeux fixés par les principaux partis, provoquant une « nationalisation » des enjeux.

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